Réflexions sur l’Atelier ‘’Chant Diphonique et Conscience’’

Atelier qui sera exécuté par Bernard Dubreuil à la suite des rencontres.

Cet atelier est fait pour pratiquer la résonance vocale et pour vous donner l’occasion de pratiquer la résonance vocale en même temps que l’ostéopathie.

Mine de rien, c’est aussi un atelier sur la ‘’conscience élargie’’…, à mains nues et à gorge déployée. Vous allez jouer avec vos liquides céphalo-rachidiens en manipulant le champ énergétique qui entoure votre corps.

Et vous allez jouer sur les liquides céphalo- rachidiens de votre partenaire en manipulant le champ qui entoure son corps.

Soit dit en passant, vous ne m’avez pas attendu pour faire ça ! Vous le faisiez déjà avant… en le disant ou sans le dire. Mais vous le ferez cette fois-ci en rajoutant une précaution : celle de tester et de réguler votre champ avec celui de votre paretenaire. Vous allez travailler en enchainant de manière fluide une succession de ‘’poignées de champ’’.

Une séance de Chantostéo, c’est une série de poignées de champ associées à une série de notes chantées dont certaines harmoniques sont amplifiées.

Je suis parti du présupposé que ce champ qui entoure tout tissu vivant (humain, animal ou végétal) est, minimalement, ce qui constitue la conscience.

La conscience, en français, c’est, pêle-mêle, toute une série de propriétés bien connues : la continuité de l’identité de soi, la cognition, la mémoire, les sensations et les émotions.

J’ai rajouté deux propriétés à la conscience ‘’classique’’. Ces 2 ajouts à la liste ne sont pas des inventions ni des hypothèses, ce sont des observations faites sur le tas, à plusieurs occasions.

– 1) elle est inter-touchable et inter-touchante. Pour moi, comme pour vous, la conscience est un champ que l’on peut palper avec le champ de conscience qui est autour de nos mains. Tout champ de conscience est capable de sentir le champ qui le touche et de sentir le champ qu’il touche. Pour les thérapeutes comme vous, il suffit d’essayer pour ressentir cette sensation partagée, ce ressenti tactile réciproque !
– 2) elle est potentiellement indépendante de l’activité du cerveau. C’est mon travail avec les membres fantômes et sur les expériences de mort imminente qui m’a fait penser à ajouter cette 2e propriété à la liste des propriétés de la conscience.

De temps en temps, le champ de conscience se décale par rapport à l’emplacement du corps dans l’espace. Ce décalage peut être petit… ou grand. Un grand décalage, c’est par exemple un champ de conscience qui se balade au plafond de la salle d’opération pendant que le corps est allongé sur la table d’opération.

Un petit décalage, c’est quand par exemple on sent son bras à coté de son bras en chair et en os : il arrive, après un ACV ou une anesthésie locale que l’on se retrouve avec deux bras distincts. Un dont on sent la présence de l’intérieur + un en chair et en os que l’on voit avec ses yeux. Et les deux ne sont pas au même endroit… Ils sont décalés, ils ne sont plus en coïncidence. Ça fait bizarre !!

Ce champ de conscience décalé, à mains nues, on peut le ramener en bonne position (en le poussant, en le tirant). Ce ‘’re-calage’’ à mains nuee, nous avons tous et toutes pu le faire et l’observer. Ce re-calage a, la plupart du temps, des conséquences positives sur la mobilité des articulations, la douleur, la posture ou l’équilibre ou tout ça à la fois.

Soyons francs et directs : nous autres, thérapeutes dits ‘’énergétiques’’, nous nous proposons d’établir ou de rétablir une interaction entre des champs qui sont des champs de consciences et nous surveillons, dans le champ ET dans le corps, l’impact de cette interaction.

En faisant l’hypothèse que la conscience du patient ou de la patiente qui consulte avec un pb de santé est en déséquilibre stable et que celle du ou de là thérapeute est en équilibre instable, nous définissons le résultat ultime de notre travail comme le retour à l’équilibre instable, signe de bonne santé.

Et pour obtenir ce résultat, nous sommes prêts à tout ! Nous sommes prêts à y mettre les mains et les coudes, nous sommes prêts à y mettre les oreilles, et allez, disons-le franchement, nous sommes prêts à y mettre tout notre être.

Contrôler la résonance de notre voix est un des moyens que nous mettons au service de la santé. Nous visons à amplifier, dans notre spectre vocal, la fréquence 1) qui a le meilleur impact sur notre palpation du champ de conscience, et 2) qui permet le mieux à la ‘’conscience patiente’’ de retrouver un mouvement en équilibre fluide, qui est le mouvement même de la santé. Nous essayons de construire une relation de confiance qui permet à la ‘’consciente patiente’’ de muter, de devenir une ‘’conscience soignante’’

Quand nous parlons de notre ‘’travail’’, nous disons :
– soit que nos manipulations des champ de conscience visent une transformation des champs…
– soit que les transformations ne dépendent pas vraiment de nous , ‘’elles se font toutes seules’’ quand certaines conditions sont réunies.

La résonance vocale nous offre deux atouts :
– 1) De l’énergie vocale, finement contrôlée, pour effectuer le ‘’rééquilibrage énergétique’’. Nous provoquons une légère augmentation de l’intensité d’une harmonique puis d’une autre, puis d’une autre, mais en fait ce n’est pas l’intensité qui est le paramèetre important. Nous cherchons la bonne fréquence : celle qui va nous mettre nous-même dans le bon ‘’mouvement de champ’’ et celle qui va re-mettre notre ‘’client’’ dans son bon mouvement de champ.

Mais rien ne nous prouve que la fréquence qui a été efficace tel jour sera efficace sur quelqu’un d’autre un autre jour… La transformation n’est pas garantie. Quand elle se produit, si elle se produit, elle est perceptible au niveau de la conscience (moins de peur, plus de paix, plus d’amour) et ensuite sur le corps (moins de douleur, plus de mobilité des articulations, etc.)

– 2) une porte d’accès vers notre conscience élargie. Chanter nous fait du bien, nous met dans l’état de conscience que nous aimons par dessus tout : celui dans lequel nous n’avons le bonheur d’être dans la détente et dans l’amour…

Je saute à la conclusion : les sons vocaux facilitent le passage de la conscience de veille à la conscience élargie.

C’est la conscience de veille du ou de la patiente qui est soignable.

C’est la conscience élargie du ou de la thérapeute qui est soignante.

Notre boulot consiste 1) à entrer dans notre conscience élargie 2) à permettre à l’autre d’entrer dans sa conscience élargie, pour que le travail sur sa conscience de veille puisse se faire à partir de sa conscience élargie.

Un tel boulot suppose que l’on ait de la conscience une conception quantique. Une conception qui accorde à la conscience un certain nombre de propriétés qui ne peuvent pas exister dans le cadre de la physique ‘’classique’’ : la superposition d’état, l’intrication et la perte du repérage systématique de nos actions sur l’axe du temps ou sur les trois axes de l’espace.

– superposition des états de conscience ( ‘’conscience de veille’’, ‘’conscience élargie’’) avec bascule rapide de l’un à l’autre de ces deux états. L’état ‘’actualisé’’ met en sourdine l’autre état de conscience, qui devient ‘’potentiel’’.

Vous avez tous remarqué à quel point, quand on se met dans l’état de conscience élargie, on ‘’est’’ plus et on ‘’a’’ moins. En particulier on ‘’a’’ moins d’ego.

– phénomène d’intrication (qui se traduit et se mesure par une action observable à distance) au niveau micro (à l’échelle du photon) ET au niveau macro ( à l’échelle du champ lui-même) . Quel est le record actuel de distance entre deux elements intriqués, en labo ? 196 Km. Bravo à l’équipe d’Anton Zeilinger !
– pas de repérage sur l’axe du temps. Vous avez remarqué que quand on se met dans l’état de conscience élargie, la durée n’a plus d’importance : on ne sait plus combien de temps on est resté comme ça à rééquilibrer le champ : 5 minutes, 10 minutes ? À l’inverse le rééquilibrage énergétique peut se faire très vite et on sent tout de suite que le travail est complet. Ça peut prendre une minute…

Une 4eme propriété se manifeste : l’indépendance de la conscience humaine par rapport au corps et au système nerveux central.

La plupart du temps la conscience de veille colle au corps. Son volume coincide avec celui du corps. Je sens que je suis dans mon corps et que je ne suis pas ailleurs.
Mais ma conscience peut se distinguer de mon corps lors de certains accidents.
La conscience élargie, elle, englobe vaguement le corps, très vaguement… Elle n’en suit pas (du verbe suivre) la forme. Elle est plutôt comme une enveloppe souple et mouvante qui va et qui vient, qui gonfle et qui dégonfle autour du corps.

Dans la Nature, ce qui ressemble le plus à la conscience, c’est un banc de poisson dans la mer. Comme un banc de poisson, la conscience opère comme un tout en étant pourtant constitué par très grand nombre d’éléments indépendants. Un ‘’ordre’’ se propage instantanément d’une zone de la conscience à toute la conscience comme d’une zone du banc de poisson à tout le banc de poisson. Comme un banc de poisson, la conscience agit comme un tout et chacune de ses parties représente le tout. La conscience humaine est Une et Multiple. Elle se déploie et elle se regroupe. Elle est un banc de poisson et elle est un poisson.

Dernière remarque : tout ce que je vous ai raconté ici est à prendre avec un grain de sel. Devant chaque affirmation de ma part, s’il vous plait, rajoutez : ‘’ tout ce passe comme si…’’

Pour le moment, j’ai les données de mon toucher à un instant donné. J’ai la mémoire des données que j’ai senties les fois précédentes. Et j’ai les témoignages des patients et des patientes. C’est bien assez comme données, diront les uns. Mais ce n’est pas assez, diront les autres !

Pour ma part, j’ai hâte d’avoir des données expérimentales solides sur les transformations de champs. Ça va me prendre du temps et de l’argent. Mais bon, est-ce que suis pressé ? Non.

Je vais prendre les données de deux champs qui se rencontrent : deux personnes amputées du bras doit … qui se serrent la main ! Je veux, vous entendez, je veux l’enregistrement des signaux de cette poignée de main historique ! Et, en résonance magnétique fonctionnelle, je veux l’image de S1 et M1 chez chacune des deux personnes au moment où elles se serrent la pince fantôme.

Et je veux l’enregistrement audio et vidéo des paroles historiques que ces personnes se diront au moment précis où elles se sentiront en contact.

Quelque chose de pas connu, du genre: ‘’Une petite poignée de main pour nous, une grande poignée de main pour l’Humanité, poil au nez !’’
Hé, hé, hé!
Ce petit programme scientifique va me garder jeune et actif pendant encore quelques temps!


6 réflexions sur “Réflexions sur l’Atelier ‘’Chant Diphonique et Conscience’’”

  1. Réflexions sur l’Atelier ‘’Chant Diphonique et Conscience’’
    « De temps en temps, le champ de conscience se décale par rapport à l’emplacement du corps dans l’espace. Ce décalage peut être petit… ou grand. Un grand décalage, c’est par exemple un champ de conscience qui se balade au plafond de la salle d’opération pendant que le corps est allongé sur la table d’opération.. »

    ça , ça s’appelle déplacement du corps ASTRAL….. Rien de nouveau sous le soleil!

    1. Réflexions sur l’Atelier ‘’Chant Diphonique et Conscience’’
      Çà ne me semble pourtant pas compliqué de supposer qu’un mec qui écrit de bonne foi avec des mots qui sont les siens :
      – un : ne pense pas avoir inventé l’eau chaude, c’est le cas de Bernard.
      – deux : a assez lu et discuté avec des gens qui ont fait des expériences de cette nature pour connaître une grande partie des noms qu’on lui donne.
      – trois peut avoir envie de le présenter différemment pour accompagner une façon de chanter qui lui est propre.

      Alors, rester anonyme et donner des leçons en quelques mots, fait partie du bruit Internet … des mots plus nuancés, un apport d’expérience supplémentaire, et se présenter paraît la moindre des choses.

      Mais je reconnais aussi volontiers que vous n’êtes pas le plus perfide des ombres du net .. gloire à vous.

      Alors si vos propos avait une intention plus large que ce que j’en ai retiré, veuillez développer et vous nommer ….

      Cordialement

      Patrick CHENE

    2. Bernard Dubreuil

       »Champ de conscience » et  »corps astral »
      L’expression ‘’champ de conscience’’ que j’utilise ici est choisie exprès.
      Dire  »champ conscience » et dire  »champ astral »
      pour moi, ce n’est pas pareil.

      Le champ de conscience est sous le contrôle de lui même, ici et maintenant.
      Chaque personne amputée peut reprendre à son compte les énoncés suivants :
      – je peux étirer, raccourcir, déplacer toute partie de mon champ de conscience à volonté.
      – je peux saisir des données sur mon environnement proche (déterminer quelle est la température de l’eau de mon bain en y trempant mon pied fantôme, déterminer, dans le noir, la distance entre moi et la porte d’entrée en la tâtant du bout de mon pied fantôme, etc.)
      – je peux agir sur mon environnement proche ( donner un petit coup de pied fantôme à mon chien pour qu’il descende de mon fauteuil et me laisse la place)
      – je peux peut échanger des informations entre une des parties de mon champ de conscience et une des parties du champ de conscience de quelqu’un d’autre. Quand deux personnes amputées de la main droite se serrent la main fantôme, elles peuvent compter leur nombre de doigts! L’une peut tapoter ses doigts fantômes dans la paume fantôme de l’autre, etc.

      Dans mes lectures sur le champ astral, ce contrôle pratico-pratique du champ par lui même n’est pas décrit.
      L’expression  »champ astral » vient souvent avec  »champ mental » et  »champ causal », deux autres champs qui englobent le champ astral.

      Ce qui n’est pas neuf sous le soleil, c’est l’idée 1) que le moi et le corps puissent se décaler dans l’espace et 2) que le moi puisse perdurer en dehors du corps.
      Mais la description de ce moi sous forme de  »champ astral, mental, causal’’ pousse vers une conception d’un moi individuel qui n’est pas interactif concrètement sur la terre, ici et maintenant.

      Ma description sous la forme de ‘’champ de conscience’’ pousse vers une conception d’un moi actif, responsable, qui postule l’autre, et qui interagit et communique avec lui, ici et maintenant.

      Je n’ai jamais entendu parler de poignée de main entre une main astrale et une autre main astrale.
      Je n’ai jamais entendu parler d’un corps astral qui serve de capteur de données en temps réel, permettant de délivrer des informations vérifiables sur la réalité extérieure. Cela peut être dû à mon ignorance, à mes lectures trop courtes. Mais peut être pas. Je crois que ce sont deux visions différentes du  »moi qui perdure en dehors du corps », qui se manifestent à travers ce choix de mots.

      La conception de la conscience que je propose déplace l’interrogation de  »qui suis-je, moi conscient », vers  »que puis-je faire avec un champ de conscience conscient de ses capacités ’’.

      Influencées par la culture hospitalière actuelle, les personnes amputées ont plutôt tendance à faire le deuil de leur membre absent. Elles ont plutôt tendance à vouloir récupérer leurs capacités physiques antérieures grâce à une prothèse. Et c’est bien normal.
      Mais je leur suggère, en plus, de faire l’exploration des capacités de leur membre fantôme présent.
      C’est fou ce qu’on peut faire avec un membre fantôme positif, en pleine possession de ses moyens !

      NB La firme Ottobock vient de mettre au point une prothèse de bras qui est pilotée par les mouvements du membre fantôme de la personne amputée.
      http://www.ottobock.com/cps/rde/xchg/ob_com_en/hs.xsl/32084.html

      Voilà des ingénieurs pratico pratiques qui se sont dits : comme le membre fantôme peut déclencher par son mouvement des activités corticales et des activités neuronales périphériques, prélevons ce signal bio-électrique lié au mouvement, et servons-nous en pour contrôler des moteurs électriques implantés dans la prothèse. Pas bête !

      Les gens qui pensent ‘’corps astral’’ n’ont pas la vision fonctionnelle d’un champ astral sous le contrôle de lui même.
      Ils n’ont pas non plus le souci d’aller chercher dans le corps des corrélats neuronaux liés à l’exercice du champ astral sur lui même. Ils n’ont pas ce sens pratique.
      Ils s’intéressent au décalage corps/corps astral, ou au  »moi qui perdure en dehors du corps », oui, bien sûr, mais ils soulignent surtout son côté éternel voire son côté divin qui permet d’avoir accès à une réalité non terrestre.

      Tout ça fait qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil, c’est bien vrai. Mais je tenais à souligner que le choix de dire  »champ de conscience » ou de dire  »champ astral », correspond à deux visions bien différentes de ce  »moi qui perdure en dehors du corps » ou de ce moi  »qui peut se décaler dans l’espace par rapport au corps ».

      1. Mister boule de Gomme

         »Champ de conscience » et  »corps astral »
        Monsieur,
        en parlant de « déplacement astral », il n’y a aucune mention dans mon propos sur le fait qu’il soit conscient (personne exercée) ou inconscient (peur ou autre).
        quand vous dites :
        « Je n’ai jamais entendu parler d’un corps astral qui serve de capteur de données en temps réel, permettant de délivrer des informations vérifiables sur la réalité extérieure. »
        vous dites vrai, il existe un autre corps mais qui n’est pas connu en occident.
        quant à mon assertion , » rien de nouveau sous le soleil » , elle n’avait rien à voir avec votre encart ni son contenu , mais avait un sens caché qui vous a « affecté » suffisamment pour que vous vous posiez peut être la question , vous et d’autres, de savoir si , à force de vouloir dévoiler les mystères du corps et de les vulgariser avec une telle violence , vous n’etes pas en train d’ouvrir la boite de Pandore…..
        Cordialement
        Mister Boule de Gomme

        1. Bernard Dubreuil

           »Champ de conscience » et  »corps astral »
          Notre discussion montre à quel point nous sommes attachés à nos habitudes…

          J’aime dévoiler les capacités cachées en chacun d’entre nous afin que chacun puisse les mettre à son service.

          Parmi celles-ci, j’aime dévoiler la capacité à amplifier les harmoniques des notes que nous chantons. Elles ont des propriétés qui méritent d’être connues et utilisées.
          J’aime aussi dévoiler les capacités du champ de conscience, en passant par un cas particulier (la conscience du membre fantôme) où elles sont plus ‘’évidentes’’.

          Ce sont des capacités qui, pour les personnes amputées, sont utiles dans leur vie de tous les jours (devenir capable d’ajuster son pied fantôme à sa prothèse, pour avoir un meilleur équilibre dans la marche, devenir capable de toucher son membre fantôme avec un autre membre valide, pour atténuer voire éliminer la douleur fantôme, etc.)
          Au delà de ce cas particulier, la conscience humaine a la propriété de s’étendre au-delà du corps. Sans amputation. Et devenir capable d’exercer cette capacité permet de se soigner, au jour le jour.

          Je me rends compte, grâce à cette discussion, que oui, j’aime dévoiler, ouvrir et libérer ces capacités dormantes et enfermées. Ce sont, je le reconnais, des habitudes, des gestes qui visent mon confort.

          Et quelles sont vos habitudes, vos gestes de confort ? Vivre caché sous un pseudonyme ? Cacher un sens dans  » Rien de nouveau sous le soleil », un sens que je n’ai pas compris mais qui était clair pour vous. Un sens voilé que, volontairement, vous n’avez pas dévoilé?

          Et plus loin, vous abordez le vrai sujet. Quand vous dites :  »à force de vouloir dévoiler les mystères du corps et de les vulgariser avec une telle violence…. » vous mettez bien le doigt sur ce qui vous blesse et sur ce qui me réjouit : le dévoilement.

          Oui je dévoile le potentiel caché
          Oui vous voilez le potentiel caché.

          Nous allons probablement continuer comme ça, en suivant le chemin de notre coeur.

        2. Bernard Dubreuil

           »Champ de conscience » et  »corps astral »
          Notre discussion montre à quel point nous sommes attachés à nos habitudes…
          J’aime dévoiler les capacités cachées en chacun d’entre nous afin que chacun puisse les mettre à son service.
          Parmi celles-ci j’aime dévoiler la capacité à amplifier les harmoniques des notes que nous chantons. Elles ont des propriétés qui méritent d’être connues et utilisées.
          J’aime aussi dévoiler les capacités du champ de conscience, en passant par un cas particulier (la conscience du membre fantôme) où elles sont plus ‘’évidentes’’.

          Ce sont des capacités qui, pour les personnes amputées, sont utiles dans leur vie de tous les jours (devenir capable d’ajuster son pied fantôme à sa prothèse, pour avoir un meilleur équilibre dans la marche, devenir capable de toucher son membre fantôme avec un autre membre valide, pour atténuer voire éliminer la douleur fantôme, etc.)

          Je me rends compte, grâce à cette discussion, que oui, j’aime dévoiler, ouvrir et libérer. Ce sont, je le reconnais, des habitudes, des gestes qui visent le confort.

          Et quelles sont vos habitudes, vos gestes de confort ? Vivre caché sous un pseudonyme ? Cacher un sens dans  » Rien de nouveau sous le soleil », un sens que je n’ai pas compris mais qui était clair pour vous. Un sens voilé que, volontairement, vous n’avez pas dévoilé ?
          Et plus loin, vous abordez le vrai sujet. Quand vous dites :  »à force de vouloir dévoiler les mystères du corps et de les vulgariser avec une telle violence…. » vous mettez bien le doigt sur ce qui vous blesse et sur ce qui me réjouit : le dévoilement.
          Oui je dévoile le potentiel caché.
          Oui vous voilez le potentiel caché.
          Nous allons probablement continuer comme ça, en suivant le chemin de nos habitudes… et de notre coeur.

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