Pathologies immunitaires : les zones cibles
Jacques R. Gesret Chercheur autodidacte
Ostéopathe Honoris Causa
Jean-Louis Boutin, Ostéopathe
Honoris Causa CO ATMAN
Parmi les pathologies du système immunitaire, nous avons quelques grandes directions : eczéma, psoriasis, allergies alimentaires, de contact, etc.
Le point commun de toutes les réactions « allergiques » ou immunitaires est qu’elles se localiseront précisément dans des secteurs métamériques cutanés ou sur un organe comme l’intestin ou les bronches.
Rappel anatomique
3 – LE GANGLION STELLAIRE
Ganglion stellaire gauche
Ganglion stellaire droit
Sur ces images, noter la différence entre les deux ganglions, ce qui peut expliquer les différences de pathologies rencontrées à droite (causes exogènes) et à gauche (causes endogènes).
Né de la fusion du ganglion cervical inférieur et du premier ganglion thoracique, le ganglion stellaire n’a pas la même disposition selon les sujets. Il peut être :
soit en position haute, cervicale, occupant la base du cou,
soit en position basse, thoracique, caché sous la plèvre et le col de la première côte,
– en dehors, par le bord interne des scalènes moyen et postérieur et les ligaments vertébro-pleural et costo-pleural ;
– en dedans, par le corps vertébral de la première thoracique, recouvert du long du cou et de l’aponévrose pré-vertébrale ;
– en avant et en bas, par le versant postérieur du dôme pleural ;
– en arrière, par le col de la première côte et l’articulation costo-vertébrale ;
– en haut, par l’artère vertébrale qui se dirige obliquement en haut et en arrière et qui ferme la fossette dans laquelle est inclus le ganglion stellaire.
soit, le plus souvent en position intermédiaire. Dans ce cas, il est situé au-dessus du dôme pleural, dans une petite dépression limitée
L’origine réelle des fibres sympathiques du ganglion se situe dans le tractus intermedio-lateralis de la quatrième à la neuvième vertèbre thoracique. Son origine apparente vient des cinquième, sixième, septième et huitième nerfs cervicaux et du premier nerf thoracique. Il donne des rameaux communicants à ces différents nerfs et au nerf vertébral. Il forme un plexus autour de l’artère vertébrale et autour du tronc basilaire.
Il s’anastomose avec :
le nerf pneumogastrique,
le nerf phrénique,
le nerf cardiaque inférieur qui participe au plexus cardiaque,
les nerfs pleuraux qui forment le plexus du dôme pleural,
les nerfs vasculaires pour l’artère sous-clavière et ses branches,
le nerf musculaire pour le muscle long du cou.
D’après Jean-Louis Boutin Le Thorax – Le contenu de l’orifice supérieur du Thorax
Les études que nous avons entreprises et le travail de l’ensemble des praticiens qui ont été formés démontrent (1) que la racine des allergies est un ganglion stellaire en souffrance, sinon saturé de messages nociceptifs issus des articulations chondrocostales subluxées. Ce ganglion est soupçonné depuis longtemps, par la médecine, d’être à la base des désordres dans les réponses immunitaires. On a procédé à son exérèse, on l’a lysé par injection d’alcool et enfin brûlé au laser en n’obtenant que des résultats provisoires et ne tenant pas dans le temps. La libération de la première côte et son maintient en équilibre parfait, a donné la preuve attendue : la disparition des réactions allergiques.
Pour qu’une une réaction « allergique » se produise, il faut une première côte fixée en rotation postérieure (à droite = allergies exogènes ; à gauche = allergies endogènes).
Subluxation chondrocostale et postériorité d’une côte.
Axe du mouvement en anse de seau
Le mouvement unilatéral de l’arc costal
Le mouvement en anse de seau s’effectue autour d’un axe antéro-postérieur passant en arrière par l’articulation costo-transversaire et en avant par l’articulation chondro-sternale. Ce mouvement est propre aux trois premiers anneaux thoraciques.
Dans le mouvement en anse de seau vers le haut, le corps de la côte est tiré vers le haut par les scalènes pendant que les deux extrémités antérieure et postérieure s’abaissent. Ce mouvement d’abaissement des deux extrémités est possible parce que l’axe OX (ou O’Y) est dirigé vers le bas. Du fait de cette obliquité, il n’existe pas, au-niveau des deux premiers anneaux thoraciques, de mouvement en anse de seau vers le bas. Le relâchement des muscles scalènes permet seulement aux deux côtes de reprendre leur position d’équilibre (leur position de repos). C’est cette absence de mouvement en anse de seau vers le bas qui explique la fréquence des thorax en inspiration puisque les scalènes sont toujours sollicités en contraction, très rarement en étirement.
La côte se retrouve ainsi en rotation postérieure, avec la tête de la côte qui recule, le tubercule costal est porté en dehors avec un glissement postéro-interne de l’arc costal.
L’arc costal se trouve enfoncé, comme dépressif en avant et plus saillant en arrière, l’hémithorax se retrouvant du côté de la lésion en rotation interne.
J’entends par exogènes, toutes les réactions allergiques provoquées par des allergènes extérieurs et par endogènes, les réactions dites « auto-immunes », bien que je conteste cette notion (2).
Les grandes lignes
Quand un corps est en déséquilibre, quelles qu’en soient les causes à l’origine, on retrouve toujours le sujet en appui sur une jambe faussement courte dans 99% des cas, sinon plus.
Cette fausse jambe courte est provoquée par une rotation/inclinaison du sacrum et ce défaut de position spatiale est dû à un certain nombre de côtes supérieures en rotation postérieure fixée. Une côte fixée induit un raccourcissement du membre inférieur homolatéral d’une valeur comprise entre 1 et 1,5 mm suivant la taille du sujet. Trois côtes, ce qui est assez courant, donneront un raccourcissement entre 3 et 4,5 mm, ce qui entraine une inclinaison du pelvis comprise entre 6 et 9 mm. Dans de telles conditions, le sujet s’appuie en permanence sur sa jambe courte, relâchant le membre long, et adopte une attitude scoliotique : épaule homolatérale abaissée et postériorisée, épaule controlatérale élevée et projetée en avant, tête inclinée à l’opposé de la jambe d’appui, mandibule décalée dans le même sens, etc.
Dans ces conditions, un certain nombre d’étages vertébraux est en souffrance avec des restrictions de mobilité articulaire, ce qui provoque des réactions inflammatoires dans les tissus environnants (avec ou sans douleurs perceptibles).
La mélodie vertébrale
Dans notre pratique, nous avons constaté que tous les sujets présentent les grandes lignes citées ci-dessus, mais qu’il existe ensuite une sorte de combinaison lésionnelle, constante chez les sujets qui présentent une pathologie particulière.
Par exemple pour qu’il y ait une potentialité de développer un eczéma chez un sujet, il faudra qu’il réunisse les critères suivants :
– première côte droite en rotation postérieure fixée ;
– T9 à gauche, fixée entre T8 et T10 ;
– sacrum en inclinaison/rotation à droite ;
– membre court à droite ;
– appui sur la jambe droite ;
– épaule droite basse et postériorisée, etc.
Pour une potentialité psoriasis, ce sera exactement l’inverse :
– première côte gauche en rotation postérieure fixée :
– T9 à droite, fixée entre T8 et T10 ;
– sacrum en inclinaison rotation à gauche ;
– membre court à gauche ;
– appui sur la jambe gauche,
– épaule gauche basse et postériorisée, etc.
Deux points particuliers dans cette hiérarchie lésionnelle vont produire des « pathologies » différentes :
– Dans la potentialité eczéma, nous avons au moins K1 et K2 fixées à droite, plus T9 (commande du foie). Cette atteinte dans les échanges qui se font avec le foie va donner de l’eczéma, qui se projettera dans un ou des territoires métamériques cutanés dont les fibres sont en souffrance dans des zones inflammatoires dues à des restrictions de mobilité articulaire des étages correspondants. Mais si nous libérons T9, nous passerons de l’eczéma à l’asthme à l’effort (K2) ou bronchites asthmatiformes (+ K3).
– Dans la potentialité psoriasis, nous avons au moins K1 fixée à gauche, plus T9 en rotation inverse (commande du pancréas), cette atteinte seule peut donner un diabète et pour que s’exprime un psoriasis, il faudra également, comme dans l’eczéma, un ou des territoires métamériques cutanés dont les fibres sont en souffrance.
De ces observations cliniques découle une possibilité de diagnostic très précis qui nous indiquera, suivant les secteurs métamériques cutanés dans lesquels s’exprime la « pathologie », quels sont les étages en souffrance et quelle est la combinaison (droite ou gauche) qui les y maintient. Ceci sera complété par la vision globale de la personne debout : appui sur quelle jambe, épaule la plus basse, tête inclinée de quel côté, décalage de la mandibule de quel côté, etc.
Pathologie n’est pas le mot qui convient, en effet, ce que nous voyons n’est de la réaction défensive de l’organisme en réponse à des informations projetées dont l’origine se situe sur le trajet nerveux qui relie la zone atteinte au système médullaire ou central.
Règle
Le corps est programmé pour assurer sa survie et celle de l’espèce, il ne fabriquera que ce qui lui est (ou semble) utile pour la conservation de son intégrité.
Les territoires métamériques cutanés
On rencontre chez tous les vertébrés, à un stade donné du développement embryonnaire, des formations mésodermiques disposées à la suite les unes des autres, que l’on désigne sous le nom de métamères ou de segments primordiaux.
On les envisage comme une représentation phylogénique de la structure du corps des invertébrés et en particulier des annelés.
La segmentation de l’embryon remonte aux premières phases de son développement.
Vers le 15e jour (environ 2mm) apparaissent les premières protovertèbres (futures cervicales) et vers le 25e jour (environ 5mm) elles seront au nombre de 35.
C’est à partir de ce stade que des cellules vont se détacher de la crête neurale pour former deux cordons parallèles.
L’un donnera les plexus ou ganglions pré viscéraux, l’autre formera la chaîne latéro-vertébrale des ganglions spinaux. C’est vers la fin du 3e mois que sera effective la segmentation des masses ganglionnaires, répondant exactement à celle des paires rachidiennes dont elles dérivent. Cet aspect en “chapelet” va se transformer à certains endroits en “cosse de haricot” intégrant plusieurs « grains » pour former les masses des ganglions stellaire, thoracique et lombaire.
Le système sympathique est l’élément fondamental du système nerveux :
« Il est le plus ancien dans l’ordre ontogénique, comme dans l’ordre phylogénétique ; son entrée en fonction est antérieure à celle du système cérébro-spinal : le plexus viscéral précède le cerveau ». (Guy Lazorthes) (3)
Certains objecteront que la segmentation métamérique est floue, de par le fait que les segments se recouvrent mutuellement à l’image des tuiles d’un toit et que l’on peut difficilement attribuer tel ou tel secteur cutané à un métamère précis.
Citons Guy Lazorthes à ce sujet :
« la topographie radiculaire de déficit (Scherrington, Forster) a permis de mettre en évidence le territoire propre par la section de la racine directe. La section des racines supérieures et inférieures a également permis de mettre en évidence le territoire maximum mais la topographie radiculaire d’excitation est plus exacte« .
Le recouvrement d’un territoire métamérique par celui qui le suit et celui qui le précède est logique car il permet la survie de ce territoire en cas de déficit de la fibre directe. Lorsque ceci se produit, seule une petite zone subit une hypoesthésie.
Parenthèse
Nous pourrions considérer les ganglions spinaux comme de « mini cerveaux métamériques » synchronisés par des connections médullaires, sans pour autant impliquer le système central par une foule de détails qu’ils peuvent gérer directement avec les noyaux médullaires.
Ce sont bien des mini cerveaux inversés car ils contiennent des neurones « intermédiaires » capables de mémoriser des informations (en T dont les cylindraxes se dirigent vers la moelle épinière et les dendrites vers les terminaisons nerveuses diverses) qui gèrent et modulent les informations entre les neurones médullaires et les terminaisons cutanées, musculaires ou viscérales. Nous pourrions envisager qu’ils détiennent, en association avec les noyaux médullaires, la « somatotopie viscérale » absente du système central.
Centralisant les informations, les modulant, les sélectionnant et n’échangeant que ce qui est nécessaire avec le système central, en particulier les messages nociceptifs « projetés ».
Les ganglions sont opérationnels, chez l’embryon, avant même la mise en fonction du système central, en même temps que se forment les premiers viscères.
Mais d’autres questions sont soulevées : cette association entre les ganglions, réalisée par les connections médullaires, ne contiendrait-elle pas les informations nécessaires à la réalisation d’un viscère, tant dans sa forme, son volume et sa fonction ?
J’ai construit cette hypothèse sur la base de la neurosignature (découverte de Ronald Melzac sur l’algie des amputés et l’agnosognosie) qui recueillerait les informations somatiques sous la forme d’une image qui serait comparée à la neuromatrice cérébrale « contenant dès la naissance l’image, la forme et le volume de l’adulte à devenir ». Disons à l’image d’un hologramme, seul capable de contenir des milliards d’informations dans un codage ultra simple, car les combinaisons ADN ne sont pas assez nombreuses pour déterminer la ressemblance d’un être humain à ses deux parents, dans leurs milliers de détails.
Donc, le corps se développerait dans ce « moule holographique » et quand il aurait atteint sa ressemblance, sa forme et sa taille finale, le facteur de croissance ne serait plus utilisé (sauf dans le cas des tumeurs où il serait réactivé).
La neuromatrice viscérale se trouverait-elle dans les ganglions spinaux puisqu’ils sont en place avant même le développement des viscères ?
Des décisions sont donc prises à ce niveau médullo-ganglionnaire et c’est également à ce niveau que des erreurs peuvent être engendrées : informations projetées, conscientes ou inconscientes (douleur de l’infarctus, projection cutanée d’une information viscérale, projection cutanée, viscérale ou musculaire d’une information articulaire).
Ces erreurs d’interprétations vont être à la base de réactions du système central et des mécanismes de défense qui vont entraîner de soi disantes « pathologies » qui ne peuvent trouver d’explication que dans cette logique de raisonnement.
Rappel d’une règle fondamentale_ :
L’origine d’une réaction dite pathologique, dans un territoire précis, ne peut avoir qu’une cause située sur le trajet qui le relie au système central.
De face
Topographie tronculaire (dte) – radiculaire (g)
De dos
Topographie tronculaire (dte) – radiculaire (g)
Disposition métamérique des pathologies cutanées
Les deux photos ci-dessous illustrent parfaitement et apportent la preuve de l’exactitude de ma démonstration qui a été publiée en 1996 dans mon premier livre.
Sur la photo de gauche, le bassin est incliné à GAUCHE. Dans tous les cas de psoriasis, la jambe courte (vraie ou fausse) est à gauche.
Sur la photo de droite, le bassin a été redressé et stabilisé, les lésions ont commencé à se résorber correctement, mais l’attitude scoliotique précédente (photo de gauche) fait que les épaules ne sont plus de niveau, ni la tête dans l’axe du corps.
On voit nettement la disposition des lésions sur les cuisses qui se situent dans le territoire exclusif de L2.
Les deux photos ont été prises respectivement à 1 mois d’intervalle.
Tout cela va rentrer dans l’ordre dans le temps par un relâchement des dissymétries musculaires.
Sacrum en inclinaison/rotation vers la droite
En ostéopathie, un sacrum s’incline d’un côté et tourne du côté opposé Ainsi une lésion de torsion gauche du sacrum se définit par une inclinaison droite de la base sacrée et une rotation vers la gauche (la base regarde à gauche) du sacrum. Son axe est alors un axe oblique gauche (de haut en bas et de gauche à droite passant par la base à gauche et l’angle postéro-inférieur droit) : la base droite s’incline à droite et tourne à gauche pendant que l’angle inférieur gauche descend et recule.
Eczéma du nourrisson
Exemple d’un eczéma du nourrisson touchant la racine maxillaire et mandibulaire du trijumeau, très en relation avec les poussées dentaires et surinfecté par staphylocoque doré.
Maladie bulbeuse
Exemple d’une maladie bulleuse nécrosante touchant une zone cutanée régie par C7 :
Photo du haut : Maladie bulbeuse
Photo intermédiaire : Maladie bulbeuse après traitement
Photo du bas : Après traitement et disparition de la Maladie bulbeuse
Sur cette photo, on constate :
1 – une petite lésion qui a commencé à guérir par le centre.
2 – une lésion dont la guérison est plus avancée, mais qui conserve encore sa couronne en « atol ».
3 – la disparition d’une portion de la couronne.
Conclusion
La libération des étages vertébraux correspondants aux zones cibles (métamériques) où s’expriment l’eczéma, le psoriasis et autres pathologies cutanées, va donner une amélioration passagère au niveau des lésions, mais ne durera pas dans le temps tant que la « potentialité pathologique » n’aura pas été résolue.
Ce que je démontrais déjà en 1986, il y 25 ans de cela, et dont personne n’a tenu compte à ce jour. (Dépôt légal à la BNF Paris, ci-dessous)
Bibliographie
CHARCOT J. M. Leçons sur les maladies du système nerveux, faites à la Salpêtrière. Paris, Bureaux du Progrès médical 1886-94.
EKANDE S. M. – GESRET J. R. Approche clinique de la sclérose en plaques : Peut-on remettre en questions le dogme des maladies auto-immunes. Mémoire d’ostéopathie, Montréal, 2009.
EKANDE S.M. – BOUTIN J.L. « La méthode Gesret Application clinique sur la modulation des réponses immunitaires de l’organisme dans le cadre de certaines pathologies » Revue Ostéo N°88, Octobre 2010.
GESRET J. R. Dermoréflexothérapie : traité théorique et pratique avec étude particulière de l’asthme et du psoriasis. 1986 – BNF de Paris : DL – 4-9-1986-22922.
GESRET J. R. « Asthme, eczéma et psoriasis ». Revue Epidaure, N°1 » 1987
GESRET J. R. Pour une nouvelle approche de la maladie. 1988 – BNF de Paris : DL-26-01-1988-00966
GESRET J. R. « La dermoriflessoterapia » 1988 – © Revue Natom – Italie, N°56
GESRET J. R. Asthme : recherche fondamentale et nouvelles thérapeutiques des pathologies du système immunitaire. De Verlaque 1996.
GESRET J. R. Acupuncture et Ostéopathie, vérité neurophysiologique. De Verlaque 1997.
GESRET J.R. « Traitement manuel de l’asthme, selon la méthode Gesret : concept et présentation clinique » Revue Mains libres N°2-2011.
LAZORTHES G. Le système nerveux périphérique. Masson, 3ème édition 1981.
MELZACK R., « Phantom limbs and the concept of a neuromatrix », Trends in neuroscience, 13, pp. 88-92, 1990.
MOUGEOT J. B. A. Recherche sur quelques troubles de nutrition consécutifs aux affections des nerfs. Paris, E. Boutmy, 1867.
Notes
1. Ma première publication date de 1987 et depuis 1996, plus de 300 professionnels ont été formés dans 19 pays qui utilisent la méthode Gesret.
2. Voir les différents liens concernant les articles déjà publiés sur le même sujet par J. Gesret
3. LAZORTHES G. Le système nerveux périphérique 3ème édition, Masson, 1981. Chapitre XXIII, Le système sympathique, « généralités », page 307.