L’ostéopathie pour le plaisir

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L’ostéopathie pour le plaisir

Kevin Lassale D.O.

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Andrew Taylor Stil


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Pour commencer, je souhaite remercier le fondateur de notre profession, Andrew Taylor Still, sans qui nous ne serions pas là aujourd’hui et dont le talent a été d’avoir fondé une approche thérapeutique pragmatique (1) de la santé, basée sur le mouvement et les relations de causes à effets que lui ont sûrement inspirés les travaux de Charles Darwin. Comme le reconnaissent certains scientifiques, Still a été un avant-gardiste dans la compréhension du fonctionnement de la machine vivante et pensante qu’est l’homme.

Je mets un point d’honneur à ce paragraphe car je suis fasciné par les écrits de cet homme que je lis et relis en américain et en français, tous les deux à trois ans depuis l’âge de douze ans. Il est impressionnant de voir que l’on comprend de nouvelles choses à chaque lecture.

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Évoquons le nom de John Martin Littlejohn, qui fût considéré comme le successeur de Still et dont les travaux ont été sauvegardés grâce à la dévotion de son plus proche élève, Stanley Gilbert John Wernham. Cependant, en visitant certaines écoles à travers le monde et en discutant avec de nombreux étudiants et ostéopathes, il est possible de se rendre compte que ce patrimoine est quasiment méconnu. C’est donc sur ce sujet que je travaille parallèlement à mes études depuis 2008, suite à une vidéo sur le « Total Body Adjustment (TBA) (2), dans laquelle Wernham précise que parmi les quelques 200 élèves présents, la plupart seront des manipulateurs et que quelques-uns seulement seront ostéopathes. Malgré mon titre d’ostéopathe je ne sais donc pas dans quelle catégorie me classer, mais j’espère être sur le droit chemin pour acquérir le « savoir être » ostéopathe. Merci à toutes celles et à tous ceux qui m’ont permis de m’entrainer plus de dix milles heures en « TBA »*, car c’est ce qui m’a permis de progresser, d’échanger et d’apprendre auprès de grands noms de l’ostéopathie, d’être accueilli par certaines écoles françaises, anglaises et canadiennes, et d’y présenter des conférences.

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Poursuivons en parlant de William Garner Sutherland et d’Harisson H. Fryette, deux personnages marquants de l’ostéopathie, qui ont permis de faire évoluer le concept ostéopathique en explorant pour le premier, l’axe crânio-sacré, et pour le second, le fonctionnement biomécanique du rachis. Même si certaines données se sont avérées fausses avec le temps, ces deux auteurs ont le mérite d’avoir lancé de nouvelles pistes de réflexion. Malgré tout, là aussi, on peut constater que nombreux sont celles et ceux qui utilisent des techniques en rapport avec leur travaux sans les avoir personnellement étudiées. 

Est-il fondamental d’étudier l’histoire et l’évolution de l’ostéopathie pour devenir ostéopathe ? La réponse n’est pas évidente.


Un concept stable en mouvement


J’aime dire que « l’ostéopathie, est un concept stable en mouvement » (3), mais si l’on se fie à ce que l’on voit il y aurait plusieurs ostéopathies. L’ostéopathie structurelle, sportive, pédiatrique, gériatrique, fasciale, viscérale, crânienne, fluidique ou énergétique, certains parlent même de filières ostéopathiques, comme celle du « TBA » avec Littlejohn, de l’ostéopathie crânienne avec Sutherland, ou encore l’ostéopathie structurelle avec Fryette. Or, il n’y a qu’une seule ostéopathie, celle qui repose sur un seul et unique concept, fondée sur un principe immuable, l’ajustement de l’ensemble des structures en interrelation, des notions évolutives, visant à permettre au praticien d’accompagner la santé de son patient en préconisant des conseils et/ou en appliquant des techniques manuelles incorporées au sein du traitement, et une « philosophie pragmatique ».

De plus, personne ne peut dire si l’ostéopathie d’aujourd’hui est plus efficace que celle d’hier. Il serait donc cohérent de sauvegarder et de transmettre tout ce patrimoine. Cela pourrait permettre à chacun d’élargir son panel et d’être plus efficace pour son patient. D’un point de vue scientifique cela permettrait à chaque ostéopathe de s’appuyer plus facilement sur les textes originaux et de les comprendre dans leur contexte.


Des citations attribuées à Still


D’ailleurs en parlant des ouvrages ostéopathiques, j’ai pu découvrir que certaines citations sont attribuées à tort à Still. Sans dire que ces dernières ne sont pas proches de celle du fondateur, il faut juste noter que ce ne sont que des interprétations. Par exemple aucun livre de Still ou de ses élèves directs n’à, semble t-il, écrit que « la structure gouverne la fonction ». On ne peut nier l’interrelation de la structure et de la fonction, mais ne faut-il pas mieux dire que « structure, psyché et fonction sont en interrelation » ?

Still en écrivant ses ouvrages n’a jamais spécifié qui était le plus important entre l’artère, la veine, la lymphe, le liquide céphalo rachidien et le nerf. J’aurai donc tendance à dire non pas que « le rôle de l’artère est absolue », mais que « le rôle des fluides et des nerfs est absolu ». De ces petites annotations peut-être futiles, terminons en faisant remarquer que le terme américain « philosophy » ne signifie aucunement un raisonnement spéculatif en réponse à une question existentielle. D’après l’Encyclopédie universelle de la philosophie (4), je dirai que bien au contraire ce terme signifie une façon de pensée pragmatique basée sur l’expérimentation. Pour les non avertis, l’ouvrage de Still Philosophy of Osteopathy ne devrait donc pas être traduit par « Philosophie de l’ostéopathie » afin de ne pas faire écho avec l’esprit philosophique occidental. Une proposition pourrait-être, « Concept pragmatique de l’Osteopathie« . Ce qui rappellerait que le pragmatisme ostéopathique n’est pas une invention du XXe siècle et que Still n’est donc pas obsolète.


Sur les fluides


Prolongeons notre réflexion sur les fluides. Pourquoi les ostéopathes ne recherchent t-ils pas à objectiver le fait qu’une hypertonie musculaire est à l’origine d’un rétrécissement du diamètre des vaisseaux vasculaires et donc d’une perturbation cellulaire ? Si la maladie survient toujours d’une modification cellulaire, ne pourrait-on pas envisager que le traitement du tissu conjonctif favorise la cicatrisation cellulaire ? Nous pourrions alors comprendre en quoi l’ostéopathie est complémentaire de la médecine et pourquoi les ostéopathes du XXe siècle ne craignaient pas de traiter certaines infections en potentialisant les forces vitales de l’organisme.

Il serait peut-être intéressant, pour ceux qui acceptent cette démarche, de se réunir et d’échanger sur le thème de l’ostéopathie d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Pour l’instant un rêve et peut-être une hérésie, ne pourrait-on pas organiser un symposium d’ostéopathie de 3 jours, en demandant aux grands noms de l’ostéopathie d’intervenir par passion, loin des querelles et des rumeurs pour permettre à chaque ostéopathe de découvrir les véritables personnalités qui ont bercé notre paysage professionnel. Mr Haxton du musée de Kirksville, n’est pas contre ce projet et accepterait d’intervenir, mais il faudrait aussi réussir à faire intervenir Mme Gail Roots et Mme Janes Stark qui ont réalisés de précieux travaux sur les pionniers. Le projet n’en est donc qu’à ses prémisses mais il est lancé, 2017 serait une belle année pour rendre en même temps hommage à notre fondateur. 

Remercions encore A.T. Still car c’est grâce à lui qu’aujourd’hui nous sommes ici et que nous exerçons non pas un métier mais une passion qui, dans la limite de nos compétences nous permet, que ce soit assis, debout, contre un mur, sur une chaise, dans l’eau ou sur une table, d’aider nos prochains aux quatre coins du monde juste avec nos mains et nos conseils.

Difficile de prétendre détenir la bonne réponse, même si le manque de rapport aux sources semble fortement diviser la profession. 

Unissons-nous, gardez la pure, disait Still… « Keep it pure boys, keep it pure ». Il faut savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va !


Notes


1. Pragmatisme
Les études de Peirce, James et Dewey, autorise à penser que le pragmatisme serait une méthode philosophique s’opposant aux méthodes analytiques et rationalistes. Sans s’opposer à la logique, le pragmatisme privilégierait l’expérience de la vie réelle selon la loi de causalité. Chaque conséquence à une cause…. Ainsi la vérité découlerait de ce que l’on constate dans la vie réelle.

2. Total Body Adjustment (TBA)
Cette appellation a été utilisé par Wernham pour définir une façon non protocolaire de réfléchir à l’organisation du traitement ostéopathique. Un terme qui ne semble pas être compris ainsi de nos jours et qui a été traduit par erreur en mon sens, par un pléonasme, le « Traitement d’Ostéopathie Général (TOG) », qui peut induire en erreur puisqu’un traitement d’ostéopathie est toujours général, n’est-ce pas ? De nombreuses personnes, sans avoir analysé ou expérimenté ce traitement, ou très peu, considèrent le « TBA » comme un traitement substitutif. Or, comme l’a toujours fait remarquer Wernham, le « TBA » c’est l’ostéopathie, ce n’est surtout pas et ce ne sera jamais un protocole ou un traitement préparatoire. Sur le fait que le « TBA » soit l’ostéopathie, il est peut-être nécessaire de prendre du recul.

3. L’ostéopathie, un concept stable en mouvement
C’est le titre du livre pratique et théorique que je rêve de finir d’écrire et de présenter encore et encore en conférence. Mais je n’ai rien inventé, tout est issu de mon interprétation des ouvrages présents dans la bibliographie ci-jointe.

4. « Philosophy »
Selon le site internet, Oxford Dictionaries, « philosophy » se définit par: « The study of the fundamental nature of knowledge, reality, and existence, especially when considered as an academic discipline. See also natural philosophy. » (Oxford, 2014). Sa traduction littérale, correspond au terme français : « philosophie », qui selon le site internet, Larousse, se définit par : « Ensemble de conceptions portant sur les principes des êtres et des choses, sur le rôle de l’homme dans l’univers, sur Dieu, sur l’histoire et, de façon générale, sur tous les grands problèmes de la métaphysique. »(Larousse, 1998). Il apparaît donc une divergence qui met en évidence une philosophie américaine « pragmatique » et une philosophie française « contemplatrice » et « fixiste. », comme le suggère le tableau de Gérard Deledalle, au sein de l’Encyclopédie philosophique universelle de Mattéi, volume IV, page 336.

Une différence qui proviendrait des époques, et du territoire donné. En effet ce mot aurait revêtu des significations différentes selon le contexte social et les idéologies du peuple correspondant. Gérard Deledalle (Mattéi, 1998). Pour commencer, ce terme employé aurait été utilisé pour la première fois en Grèce, par les philosophes Parménide et Héraclite pour définir l’ensemble des idéologies du peuple. Il aurait donné place en France (Europe) au mouvement philosophique des lumières (XVIIIe siècle), tandis qu’au même moment en Amérique, il aurait désigné une vision pragmatique, permettant à chacun de développer de façon autonome, ses pensées et sa vie, en corrélation avec l’esprit frontalier, généraliste, expérimental et démocratique, respectant le rêve américain – préconisant que tout est possible, qu’il suffit de vouloir pour réussir.(Coulon, 2010. Deledalle in Mattéi, 1998). Une vision américaine, qui naquit de plusieurs courants de pensées, lors de la période de colonisation de l’Amérique (1620-1776) et entre la guerre de Sécession et la seconde guerre mondiale (1865 à 1945) inspirée par de nombreux hommes tels que Locke, Hegel, Peirce, Dewey, Darwin. « Aucun des mouvements qui virent le jour quand l’Amérique développa une philosophie propre n’échappa à l’influence pragmatiste » Deledalle in (Mattéi, 1998).


Remerciements


C’est une chance de pouvoir écrire un article en ostéopathie. Je tiens de ce fait à remercier Jean-Louis Boutin pour sa proposition, son amitié et ses précieux conseils.

En tant que non scientifique et non historien, je remercie Jean Marie Gueulette, Roger Caporossi et René Briend pour leur franchise et l’attention qu’ils me portent. Je retiens d’eux qu’il faut toujours faire attention au fond mais aussi et surtout à la forme.

Ensuite, dans ce monde ouvert à la critique, je remercie ma « maman » Françoise Bonhommeau, mon meilleur ami Bastien Vidis et mes amis ostéopathes Ludovic Saussé, Josselin Diacquenod, Ségolène Bonnet, Guillaume Sommaire, Axel Leplat, Benjamin Vitasse et Océane Ranty pour leur soutien régulier.

Merci singulier à Pierre Tricot, pour sa patience, sa disponibilité et son amitié, car sans ses travaux, je n’aurai jamais découvert Still et sans doute cette passion qui m’anime.

Pour finir merci à ma famille et mes grands parents maternels sans qui je n’aurai jamais pu arriver jusqu’ici.


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