Diabète : peut-on remettre les dogmes en questions ?

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Diabète : peut-on remettre les dogmes en questions ?

Auteurs : Jacques Robert Gesret, Honoris Causa Académie d’Ostéopathie de Montréal  – Jean-Louis Boutin, Ostéopathe

Résumé

Maladies auto-immunes, voila le maître mot ! A la lumière de certaines observations, ne pourrait-on pas les remettre en questions ? Et si les maladies auto-immunes n’existaient pas, que ce soit un dogme erroné qui ait fait accepter cette idée que le corps puisse s’attaquer à certaines parties de lui même ? Nous allons donc développer ici, une autre façon d’aborder le mécanisme du diabète …

[Cet article a été créé le 19 juillet 2008]


En tout premier lieu, il est nécessaire de comprendre le rôle des systèmes orthosympathique et parasympathique dans la régulation du travail d’un organe du corps humain.

Rappelons brièvement que le rôle de l’orthosympathique est « accélérateur » ou « dilatateur » et que celui du parasympathique est « freinateur » ou constricteur.

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Source de l’image : https://fr.wikipedia.org/wiki/Estomac pour le pancréas et ses rapports.

Prenons un simple exemple : l’estomac.

Vide, il est au repos et reçoit par la voie artérielle un flux sanguin minimum pour assurer sa « survie ». Plein, il doit travailler et pour cela il lui faut consommer de l’énergie (sucre + oxygène = travail + chaleur).
La régulation du débit sanguin arrivant à l’estomac, se fait au niveau des artères sur lesquelles sont fixées les fibres d’origine parasympathiques, les constrictant « naturellement » à un débit minimum, à l’image du ressort de rappel d’un carburateur de voiture. Ce carburateur est réglé de façon à distribuer la quantité de carburant (essence) et de comburant (air, oxygène) juste nécessaire au maintient en rotation du moteur ; le moteur « survit » et ne produit aucun travail exploitable.
Lorsque l’on veut utiliser sa puissance, on tire sur le câble accélérateur, ce qui ouvre l’arrivée d’essence et d’air au carburateur, permettant au moteur de recevoir l’énergie qu’il va convertir en travail et en pertes caloriques.
Pour l’organe, c’est la même chose, c’est l’influx orthosympathique qui va obliger l’artère à se dilater pour laisser passer plus de sang, c’est-à-dire plus de sucre et d’oxygène, en un mot plus d’énergie.
J’ai appelé ce mécanisme « la loi de l’artère de Jacques R Gesret » en dérision à la « loi de l’artère de Still » que ni lui, ni aucun de ses élèves n’a jamais su démontrer autrement que par « c’est une loi importante » ! [Voir ci-dessous l’encadré sur cette loi ]
Cette vision de la régulation du travail d’un organe, comme d’un muscle et comme le cerveau également, n’est pas du tout simpliste, bien que fort simple. Ma conclusion est que TOUT dans le corps est sous la dépendance des deux systèmes périphériques qui assurent la régulation vitale ; la suite le démontrera.

Rappel de quelques grandes lois de la physiologie :

– « Toutes les fluctuations locales du métabolisme des tissus découlent nécessairement d’une modification survenue dans leur irrigation sanguine ». (C. Bykov, L’écorce cérébrale et les organes internes, 1956) [1]
– « La physiologie de l’organisme doit être considérée comme un tout, il ne peut y avoir de séparation de principe entre les processus engendrés par l’irritation des récepteurs détectant les influx venant du milieu intérieur de l’organisme et l’irritation des récepteurs sensibles du milieu environnant ». (Pavlov, Théorie unitaire de l’activité analytique)

Le diabète

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Source de l’image : Les îlots de Langherans.
Nous tenons à remercier spécialement M. Georges Dolisi qui nous a autorisé à publier cette image.

En préliminaire, pour avoir une base de départ, citons un extrait d’un document médical référent en la matière, un commentaire suivrai ensuite :

 Histologie des îlots de Langerhans

« Le pancréas comprend deux composants fonctionnels :

1. Le pancréas exocrine, constitué d’acini impliqués dans la synthèse et la sécrétion de plusieurs enzymes digestives transportées dans le duodénum par un système canalaire.
2. Le pancréas endocrine (2% de la masse pancréatique), formé par les îlots de Langerhans disséminés au sein de la glande.

 Chaque îlot de Langerhans est formé de deux composants :

1. Des cordons de cellules endocrines anastomosés – cellules alpha, béta, delta et F – dont chacune sécrète un seul type d’hormone.
2. Un composant vasculaire, le système porte insulo-acinaire constitué d’une artériole afférente donnant naissance à un réseau capillaire bordé de cellules endothéliales fenêtrées. Les veinules quittant les îlots de Langerhans apportent le sang aux acini pancréatiques adjacents. Ce système porte permet aux hormones insulaires d’agir localement sur le pancréas exocrine » [2].

L’unité fonctionnelle est donc l’îlot de Langerhans. Il s’agit de groupements cellulaires de 20 à 300 µ de diamètre. Ils sont entourés par une membrane au contact de laquelle on trouve de nombreux capillaires. De nombreuses terminaisons nerveuses appartenant aux systèmes sympathique et parasympathique entourent les îlots. Les diverses cellules des îlots de Langerhans ont un aspect fonctionnel sécrétoire avec présence dans le cytoplasme d’un abondant réticulum endoplasmique associé à de nombreux polysomes, des mitochondries et surtout des granules sécrétoires.

On distingue 4 types cellulaires

– les cellules bêta (ß ou B), situées au centre des îlots, sécrètent de l’insuline et de l’amyline ; elles constituent 70% des cellules des îlots de Langherans.
– les cellules alpha (? ou A) sécrètent le glucagon et constituent 20% des cellules situées le long des axes vasculaires
– les cellules delta (?, D ou de type III), à la périphérie, les moins nombreuses, sécrétent de la somatostatine pour la plupart ou de la gastrine.
– les cellules F ou PP, comparativement peu nombreuses (1 à 2 %), prédominent dans le lobe postérieur au niveau de la tête et du corps ; elles sécrètent le polypeptide pancréatique [3].

Notons l’importance de cette phrase :

« Ils sont entourés par une membrane au contact de laquelle on trouve de nombreux capillaires. De nombreuses terminaisons nerveuses appartenant aux systèmes sympathique et parasympathique entourent les îlots.« 

Question : dans le cas où l’influx orthosympathique serait déficient pour une cause X ou Y, pourquoi ne pas envisager que l’influx parasympathique maintienne l’irrigation artérielle, au niveau des capillaires de la membrane entourant les îlots de Langerhans, à un niveau tellement bas que ces cellules ne puissent assurer leur fonctionnement et meurent par asphyxie ?

Notre conclusion 

À partir de l’instant où l’influx orthosympathique – issu de la medulla, passant par les trous de conjugaison des vertèbres dorsales, réalisant à cet étage les nerfs splanchniques, dont une partie va innerver le pancréas – est déficient, il va donc y avoir une action imparfaite sur certaines zones de celui-ci ; des paquets d’îlots ne seront plus alimentés correctement par des capillaires vasoconstrictés et de ce fait vont tout simplement être détruits !
Ne serait-ce pas là, un mécanisme pouvant expliquer de façon simple et rationnelle pourquoi les cellules de Langherans sont « détruites » autrement que par une réaction dite « auto-immune » qui mettrait en jeu une agression par des lymphocytes prenant des vessies pour des lanternes sans aucune justification démontrable ?

Le mécanisme mécanique

Bien que certains n’acceptent pas de l’admettre, il est fréquent que des étages articulaires vertébraux se retrouvent en restriction de mobilité articulaire et que dans ces zones se produisent des réactions inflammatoires.
Les fibres nerveuses issues des trous de conjugaison se retrouvent alors « compressées » par des tissus durcis et il s’ensuit des déficits de transmission d’informations entre une zone corporelle et le système central, sinon des informations projetées à type thermique comme dans la causalgie. J’ai déjà démontré que le mécanisme de la cellulite était basé sur ce principe de fausse information thermique et cela a fait l’objet d’une publication en 1985 dans la revue du Syndicat des chirurgiens de chirurgie esthétique française : « mécanismes dont ils se doutaient depuis longtemps sans en comprendre le principe« . Mécanisme identique dans l’apparition de lipomes graisseux (si des professionnels désirent des explications détaillées, les commentaires sont ouverts).
Tous les thérapeutes manuels, tant médecins que non médecins, connaissent (plus ou moins) ces phénomènes.

La levée des restrictions de mobilité articulaire des étages incriminés, permet un retour « à la normale » très rapidement.

Des preuves, nous en avons :

– si nous intervenons sur des enfants en bas âge – et là nous devons ouvrir une parenthèse – nous obtenons la cessation des symptômes qui les avaient fait cataloguer « diabétiques ».

Revoyons un instant les mécanismes de la croissance d’un enfant :

– tant qu’il n’aura pas atteint sa taille adulte, ainsi que tous ses organes internes, l’enfant sera constitué de cellules capables de se multiplier : une cellule mère pouvant produire plusieurs cellules filles.
– dès qu’un organe, par exemple le pancréas, aura atteint son volume « adulte », les cellules qui le constituent cesseront de se multiplier pour ne plus que se remplacer au cours d’un cycle régulier de renouvellement cellulaire : une cellule mère donnera une seule cellule fille avant son apoptose.
– par la suite, la reprise exceptionnelle de la multiplication cellulaire est anormale et conduit à développer une tumeur maligne.

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Source de l’image
http://www.diabetenet.com/index.php?Rubrique=91

Donc, partant de ce principe, j’ai trouvé l’explication au fait que nous pouvions intervenir et avoir des résultats sur un enfant en bas âge et pas sur un adolescent ou un adulte : parce que chez l’enfant dont le pancréas n’a pas atteint le stade « adulte », les cellules se divisent et peuvent donc reconstituer le stock de cellules de Langerhans ayant été détruites précédemment.
 L’organe existe car il doit remplir une fonction précise et au stade de son élaboration des réparations peuvent y être réalisées pour atteindre « l’objectif fixé ».
Je développerai, prochainement, cette notion « d’objectif fixé » dans une suite d’articles concernant le principe de la neuromatrice cérébrale et de la neurosignature corporelle découvertes par Ronald Melzac dans sa recherche sur la sensation persistante des membres fantômes.
Tout comme seront publiés des articles (en cours de réalisation) concernant les maladies nerveuses dégénératives, en particulier la SEP (Sclérose en Plaques) et la fibromyalgie, qualifiées également « auto-immunes », où nous démontrerons que des résultats concrets peuvent être obtenus en étudiant ces pathologies par la voie neurophysiologique et non par la voie actuelle « immunitaire » [4].


Sources des images



Le 4e principe de l’Ostéopathie : La règle de l’artère

 Énoncé par Still « La règle de l’artère est suprême » (1), cette phrase est devenue en quelque sorte un dogme que l’on retrouve à peu près dans tous les écrits des ostéopathes actuels comme 4e principe de l’ostéopathie après l’unité de l’organisme vivant (structure et fonctions), l’autorégulation et l’autoguérison face aux processus de la maladie et l’interdépendance de la structure et de la fonction (2).

Cette « règle de l’artère » semble être une simple évidence : le sang doit circuler partout librement dans le corps pour amener l’oxygène et tous les nutriments nécessaires à l’homéostasie. Mais les Ostéopathes en ont fait un quatrième principe sans jamais apporter de justification à cette assertion.

 Un premier essai a tenté de montrer le bénéfice vasculaire d’un traitement ostéopathique grâce à une caméra infrarouge radiométrique (3). À notre connaissance, c’est la seule justification publiée à ce jour.

 Un livre, chez Sully, donne le résultat de quinze années de travaux et d’expérience clinique sur ce sujet en présentant une méthode complète pour l’examen et le traitement manuel de ces structures (4).

 On trouvera sur le site d’Asthma Reality (5) une explication des énergies traditionnelles ainsi que des citations de Still sur l’artère et le sang. Jacques Gesret y expose les raisons physiologiques et l’importance de la circulation du sang au sujet du diabète à travers le système sympathique et parasympathique, seul système qui permet de comprendre la vasodilatation et la vasoconstriction des vaisseaux et qui donne enfin une justification à cette « loi de l’artère ».

Pour conclure, voici quelques citations trouvées sur le Net au sujet de la « règle de l’artère » vue par les ostéopathes (tous sites consultés le 30 mai 2012).

La règle de l’artère (circulation libre des fluides des fluides et de l’influx nerveux)

“La règle de l’artère est suprême” (Still).

A.T. Still pensait que le sang était capable de produire des substances nécessaires pour maintenir l’immunité naturelle contre la maladie. Il fallait donc tout faire pour assurer une circulation fonctionnelle et efficace.

Note : Laissez-nous insister sur le mérite d’une telle affirmation en des temps où la physiologie sanguine et le système immunitaire étaient très peu connus.

Le système circulatoire (sang et lymphe) est distribué dans tous les territoires du corps humain, aussi bien que le système nerveux (auquel fut ensuite étendu ce dernier principe). Le « nettoyage » amenant au libre fonctionnement de ces systèmes était pour le docteur Still une condition indispensable pour une bonne santé.  

 

« La règle de l’artère est reine »

Autrement dit : le sang qui circule dans toutes les parties du corps permet de nourrir chaque cellule et d’en évacuer les déchets. Si une partie du corps se trouve appauvrie en apport sanguin, sa santé va diminuer. C’est pourquoi l’Ostéopathe cherche également à s’assurer que le sang circule bien partout et essaye d’y remédier si ce n’est pas les cas.

d) La règle de l’artère

« La règle de l’artère est suprême » (Still). Still pensait que le sang était capable de générer des substances nécessaires à maintenir l’immunité naturelle contre la maladie. Rappelons encore une fois pour souligner son mérite, qu’à cette époque bien peu de choses étaient connues sur l’immunité et les fonctions physiologiques du sang. Le système circulatoire (sang et lymphe) se distribuant dans tous les territoires du corps humain, de même que le système nerveux, l’intégrité de ces systèmes était pour le docteur Still une condition indispensable à la bonne santé.

Source :  Site de Pierrette Richer

LE CORPS POSSÈDE SES PROPRES MÉCANISMES DE RÉGULATION

Pour que les processus physiologiques de guérison du corps soient efficaces il faut que nos cellules reçoivent tous les éléments dont elles ont besoin pour remplir parfaitement leurs fonctions. Cela a fait dire à Andrew Taylor Still que « la règle de l’artère est suprême » (A.T. Still : Autobiographie Sully ISBN 2-911074-08-04 page 128). Les cellules doivent pouvoir se régénérer et se débarrasser de leurs déchets. Pour cela il faut que le sang, la lymphe, en un mot tous les liquides du corps, circulent librement. C’est le mouvement qui facilite l’acheminement des liquides dans les tissus, favorisant par la même le renouvellement du milieu dans lequel baignent nos cellules. Un autre système de régulation important est représenté par le système nerveux, qui est en relation étroite avec la colonne vertébrale. La résultante de ces trois principes permet de favoriser l’équilibre du milieu intérieur ou homéostasie, ce qu’Andrew Taylor Still dénommait, dans un langage du XIX° siècle: l’auto guérison du corps. (Certains mécanismes physiologiques n’avaient pas encore été mis à jour quand Still écrivait ses mots). Les termes d’« auto guérison du corps » et de « remèdes naturels » qu’il employait, permettaient d’illustrer le propos. Il nous semble important d’indiquer que l’ostéopathie ne prétend pas tout soigner, et que les bons ostéopathes ne réfutent pas l’usage des médicaments.

Source : Site du R.O.F


Notes de l’encadré

1. A.T. Still : Autobiographie. Sully ISBN 2-911074-08-04 page 128.

2. Définition de l’Ostéopathie lors de la « Convention Européenne d’Ostéopathie » qui se tenait à Bruxelles en 1987 grâce au concours du Professeur Pierre Cornillot, Président de l’Université de Paris-Nord Bobigny 

3. Philippe ANDREANI, Responsable de Recherche : Influence des traitements ostéopathiques objectivés par caméra infrarouge radiométrique : Modifications vasculaires et thermiques, article disponible sur le site www.conquetedufroidinterieur.com/page2.htmlconsulté le 30 mai 2012. En note, l’auteur cite Andrew T. S :« La loi de l’artère et de la veine est universelle chez tous les êtres vivants et l’ostéopathe doit connaître cela et se soumettre à sa souveraineté, sinon, il ne réussira pas en tant que guérisseur.» A. T Still. Philosophy and Mechanical Principles of Osteopathy, 1899, chapitre 9 “The Blood”, p. 153.

4. Paul Chauffour, Eric Prat et Jacques Michaud, Le Lien Mécanique Ostéopathique : artères et système neuro-végétatif. Sully, 2009. 

 5. On trouvera sur ces pages de plus amples informations et des explications détaillées.


Notes de l’article

 1. « Bykov, disciple de Pavlov a réuni une mine de faits dont je voudrai reprendre ici quelques exemples afin de situer la méthode et quelques uns de ses apports. Les expériences de Bykov et de ses collaborateurs visaient à résoudre trois types de problèmes :

1. Vérifier l’existence de liaisons fonctionnelles entre l’écorce cérébrale et les divers organes internes.
2. Chercher la possibilité d’élaborer des stimuli conditionnels à partir d’excitations provenant de ces organes.
3. Etudier les relations existant entre extéroception et intéroception ».

Ovide Fontaine, « Introduction aux thérapies comportementales (behavior therapies) : historique, bases théoriques, pratique ». Volume 76 de Psychologie et sciences humaines, Éditions Mardaga 1978, p. 124 sq. Cet article peut être visualisé sur Google livre – consulté le 30 mai 2012.

Autres citations de Bykov :

  • « Toutes les fluctuations locales du métabolisme des tissus découlent nécessairement d’une modification survenue dans leur irrigation sanguine ».
  • « On peut dire que l’écorce cérébrale gouverne la périphérie : elle règle l’activité fonctionnelle des appareils périphériques. L’écorce n’enregistre pas seulement, elle dirige et commande la réceptivité cutanée. La liaison de la sensibilité cutanée avec l’écorce n’est pas une simple connexion centripète unilatérale ; c’est une interrelation en tous sens ».
  • « L’écorce cérébrale qui contrôle tout le comportement de l’organisme dans le milieu ambiant, agit en même temps sur toute l’économie interne. Il serait donc invraisemblable que la liaison inverse n’existe pas ».
  • « La physiologie de l’organisme doit être considérée comme un tout, il ne peut y avoir de séparation de principe entre les processus engendrés par l’irritation des récepteurs détectant les influx venant du milieu intérieur de l’organisme et l’irritation des récepteurs sensibles du milieu environnant ».

D’après Pavlov, dans sa Théorie unitaire de l’activité analytique 

  • Voir également : Conditioned reflexes : an investigation of the physiolical activity of the cerebral cortex,
  • À consulter aussi ce livre très intéressant de Corneliu E. Giurgea, L’héritage de Pavlov : Un demi-siècle après sa mort. Éditions Mardaga, 1986. 

Pour toute cette partie, on se reportera à Claude Bernard, Principes de la médecine expérimentale

 2. Alan Stevens, James Lowe, Histologie et Biologie cellulaire : Une introduction à l’anatomie pathologique. De Boeck. Traduction Pierre Validire, 2e édition 1997, p. 521.

 3. Alan Stevens, James Lowe, Histologie Humaine. De Boeck. Traduction Pierre Validire, 2e édition 1997, p.268.

 4. Voir sur le site les travaux de J. Gesret et de Sophie Ekande  – On pourra se reporter à ce site pour un complément d’information sur les neurosciences, la physiologie et la biologie :
– Neur-one 2012 et comportements est consacré à la diffusion de cours de NEUROSCIENCES mais aussi de BIOLOGIE et de PHYSIOLOGIE (Espace cours). Pour une moindre part, il permet la diffusion de documents, informations etc. (Espace Mémoire libre).


 

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