« Luria a été déchiré toute sa vie entre les approches physiologiques, biologiques, de la science classique – qu’il trouvait essentielles mais réductrices – et ce qu’il appelle une médecine romantique, attentive à la totalité de la personne malade, à l’entièreté de son expérience vécue. »
Olivier Sacks, Le Monde 2, Janvier 2009