Commentaires et critiques – Revue de presse – Rapport de l’Académie de Médecine sur les médecines alternatives (2013)

Sommaire


Critiques

Ostéopathie-64 dénonce le rapport de l’académie nationale de médecine

Bien que ce rapport de l’académie nationale de médecine sur les thérapies alternatives aille dans le bon sens et que ce soit un grand pas en avant il met aussi clairement la lumière sur une malhonnêteté évidente de ses auteurs. Et tant que cette malhonnêteté sévira chez ces personnes influentes alors on ne peut pas espérer une justice dans le domaine de la santé entre les différents protagonistes.

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Rapport de l’académie nationale de médecine sur les médecines douces

En juillet 2012, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (APHP) a décidé d’introduire quatre thérapies alternatives à l’hôpital. Cette démarche a suscité l’étonnement de l’Académie nationale de médecine.
On se rappelle en effet que les académiciens de la rue Bonaparte ont rendu plusieurs rapports défavorables aux thérapies alternatives. Ils avaient pu dire entre autres en 2006 que les effets thérapeutiques des manipulations sur certaines douleurs rachidiennes étaient « connus longtemps avant l’ostéopathie » et qu’il fallait « tenir compte, d’une part, [de] l’évolution spontanée vers la guérison d’autre part, [de] l’effet positif, analogue à un effet placebo, créé par la présence du soignant et l’application de ses mains, l’addition des deux facteurs pouvant compter pour un chiffre élevé d’excellents ou de bons résultats ». Il devenait urgent que l’institution se positionne puisque l’engouement pour ces approches alternatives ne se contentait plus de « polluer » l’activité médicale de ville mais s’insinuait dorénavant dans le saint des saints : l’hôpital public.

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Réactions des Association Socio-Professionnel (ASP)

ROF

Le nouveau rapport de l’Académie Nationale de Médecine…

Le 5 mars 2013, l’Académie Nationale de Médecine (ANM)  a publié son rapport sur les thérapies complémentaires, leur place parmi les ressources de soins.
Si L’ANM déclare, contrainte et forcée, que 4 Français sur 10, se tournent vers ces pratiques par « esprit de relative défiance par rapport à la médecine » et devant des résultats des traitements insuffisants…
Elle rejette cependant avec vigueur le terme de médecines complémentaires, lui préférant le vocable de « thérapies complémentaires » (ThC). Ceci n’est pas sans rappeler certaines réflexions parues dans le Quotidien du Médecin le 25 février.

SFDO

Après l’INSERM au printemps 2012 [1], l’AP-HP [2] et le CAS [3] en automne 2012, c’est au tour de l’Académie Nationale de Médecine (ANM) de traiter du sujet des médecines complémentaires. Le rapport intitulé « Thérapies complémentaires (acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi). Leur place parmi les ressources de soins » de Daniel Bontoux, Daniel Couturier et Charles-Joël Menkès a été rendu public le 5 mars dernier.

Contrairement aux précédents rapports récents sur cette thématique (INSERM, AP-HP, CAS), celui-ci a bénéficié d’un écho médiatique important et a été relayé par de nombreux médias et certaines associations socio-professionnelles.

Commentaires des Chiropraticiens


Deux sites donnent les réactions de l’AFC (Association Française de Chiropratique) et celle des chiropraticiens :

Cadureso : AFC

Rapport de l’académie de médecine sur les thérapies complémentaires :
L’AFC se félicite de la reconnaissance de la formation et des soins chiropratiques par la communauté médicale.

Dans son rapport «Thérapies complémentaires : leur place parmi les ressources de soins », rendu public hier, l’Académie française de médecine reconnaît pour la première fois l’apport des thérapies manuelles, et plus spécifiquement de la chiropraxie, dans la prise en charge d’affections rachidiennes répandues telles les cervicalgies, les lombalgies et les céphalées d’origine cervicales.

News Santé

Ostéos/chiros : réaction des praticiens au rapport de l’Académie de médecine.

Dans son rapport « Thérapies complémentaires : leur place parmi les ressources de soins », rendu public hier, l’Académie française de médecine reconnaît pour la première fois l’apport des thérapies manuelles, et plus spécifiquement de la chiropraxie, dans la prise en charge d’affections rachidiennes répandues telles les cervicalgies, les lombalgies et les céphalées d’origine cervicales.

L’article semble avoir disparu sur le site News Santé, la suite est donc introuvable.


Revue de Presse

De nombreux liens permettant de lire les différents articles ont été supprimés. Nous les avons supprimés tout en laissant l’auteur et le titre de l’article

Hôpital.fr

Médecines alternatives et complémentaires

Acupuncture, auriculothérapie, homéopathie, hypnose, sophrologie pour ne citer que les plus pratiquées, les médecines alternatives et complémentaires, les MAC, font doucement mais sûrement leur entrée à l’hôpital. Gros plan, exemples à l’appui, sur une pratique qui attire et divise à la fois.

Vidal, dictionnaire des médicaments

Avis de l’Académie de médecine sur l’acupuncture, l’hypnose, l’ostéopathie et le tai chi

Les thérapies complémentaires peuvent être utiles, même si leur efficacité repose souvent sur l’effet placebo.
L’acupuncture, l’hypnose, l’ostéopathie et le tai-chi sont les techniques complémentaires les plus riches en publications indexées. De plus, ces 4 thérapies non conventionnelles sont testées depuis juillet 2012 par l’AP-HP dans ses établissements hospitaliers. Cet article présente une synthèse des résultats de l’analyse qu’en a fait l’Académie de médecine dans son rapport paru le 5 mars 2013.

Le Quotidien du Médecin

Thérapies complémentaires : L’appel à la prudence de l’Académie de médecine – Article de David Bilhaut (07/03/2013)

Dans un rapport voté mardi, l’Académie nationale de médecine prend acte de l’insertion des thérapies dites complémentaires dans les hôpitaux qui semble aujourd’hui présenter un « réel intérêt » si elle s’avère un moyen de préciser leurs effets et usages. Pour les Académiciens, il est notamment primordial que ces pratiques restent à leur « juste » place, derrière la médecine basée sur des méthodes scientifiques.

Le Point

Acupuncture, médecine manuelle, hypnose… Quatre Français sur dix font appel aux « pratiques non conventionnelles », parfois à leurs risques et périls…

Pourquoi Docteur – Comprendre pour agir

{Acupuncture, hypnose, ostéopathie : Médecines alternatives : l’Académie de médecine pointe les dérives}

Pour l’institution médicale, les thérapies complémentaires constitueraient une nébuleuse difficile à identifier et sujette à trop de dérives.

RTL : Le Journal du blog

Les dérives des médecines alternatives

Acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi, de plus en plus de patients font désormais appel à ces thérapies, à côté ou en complément de la médecine classique. Mais sont-elles réellement efficaces et sans danger ? Dans un rapport, l’Académie de médecine pointe les dérives de ces thérapies.

Le lien de l’émission n’existe plus.

Top Actu.fr

Médecine non conventionnelle : l’Académie de médecine rend son rapport

L’Académie de médecine vient de rendre son rapport concernant les « thérapies complémentaires » comme l’acupuncture, l’ostéopathie et la chiropraxie, ou encore le Tai-chi et l’hypnose. Elle conclue en affirmant que ces approches ne peuvent être une alternative à la médecine traditionnelle, sont très difficiles à analyser et présentent de nombreuses dérives raison pour laquelle elles ne peuvent être reconnues officiellement

L’Express

Médecines douces : ce qui marche… ou pas !

Acunpuncture [sic], ostéopathie, hypnose, tai chi sont-ils efficaces? La réponse de l’Académie de médecine est globalement positive. Mais avec quelques réserves.
Qu’on les appelle médecines douces, naturelles, alternatives ou autres, les « thérapies complémentaires », comme préfère les nommer l’Académie nationale de médecine (ANM), connaissent un réel succès en France. Près de 4 personnes sur 10, « et tout particulièrement les malades atteints de cancer », souligne l’Académie, y feraient appel.

Le Figaro

L’Académie de médecine recadre les médecines douces

Certaines thérapies complémentaires ont un intérêt modeste et dans des cas limités, selon l’Académie.
C’est à un recadrage en règle que s’est livrée l’Académie nationale de médecine à travers son rapport adopté le 5 mars sur les thérapies complémentaires. Entendez les médecines douces, encore appelées parfois «médecines parallèles» ou alternatives. Un très mauvais terme qui entretient la confusion dans l’esprit du public, de même que le terme «médecine traditionnelle», qui laisse à penser qu’une pratique ancienne est forcément bénéfique pour la santé.

Sciences et Avenir

Acupuncture, hypnose, ostéopathie… l’Académie de Médecine donne son avis.

Dans un rapport rendu public mardi 5 mars 2013, l’Académie prévient : ces « thérapies complémentaires » ne doivent « jamais être choisies par le patient comme une solution de premier recours« . Début mars, l’Académie de Médecine a publié un rapport en réponse à l’initiative prise par l’AP-HP d’introduire à l’hôpital quatre « thérapies complémentaires » : l’acupuncture, la médecine manuelle (ostéopathie et chiropraxie), l’hypnose et le tai-chi.

Le Parisien

Les médecines parallèles sont-elles efficaces ?

Acupuncture, ostéopathie, taï-chi… Les médecines parallèles séduisent de plus en plus de Français et se sont même doucement installées dans les hôpitaux de Paris. « Il y a une demande très importante des patients », justifie Jean-Yves Fagon, qui chapeaute le développement de la médecine complémentaire à l’AP-HP. Devant cet engouement, la très sérieuse Académie de médecine a décidé hier de reconnaître l’utilité de quatre techniques qui contournent la médecine traditionnelle : acupuncture, hypnose, médecine manuelle (ostéopathie et chiropraxie) et taï-chi.

France TV Info

Les thérapies alternatives dans le viseur de l’Académie de médecine

L’acupuncture, l’ostéopathie, le tai-chi et l’hypnose à l’hôpital. Dans les couloirs de l’Académie nationale de médecine (ANM), la décision en juillet 2012 de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (APHP) d’introduire ces quatre thérapies alternatives à l’hôpital n’est pas passée inaperçue. « Avec sa culture scientifique, l’Académie était un peu surprise », indique Daniel Couturier, secrétaire général de l’ANM. L’étonnement passé, l’institution décide de se pencher sur la question et rédige un rapport, publié mercredi 6 mars. Si les professeurs de l’Académie jugent légitime l’initiative de l’APHP, ils émettent de sérieuses réserves sur ces médecines alternatives. Explications et réponses des praticiens concernés.

Doctissimo

L’académie de médecine se prononce sur l’acupuncture, la chiropraxie, l’ostéopathie.

Les thérapies complémentaires, vous connaissez ? L’ostéopathie, la chiropraxie, l’hypnose, l’acupuncture, le QI Cong … Aujourd’hui 4 français sur 10 feraient appel à ces ‘patamédecine’, et particulièrement les patients atteints de cancer. Devant cet engouement et le manque de preuves scientifiques des bénéfices de ces thérapies, l’académie de médecine a publié un rapport très approfondi sur ces pratiques.

Santé log

MÉDECINE: Acupuncture, ostéopathie, tai-chi, des thérapies alternatives ou complémentaires ?

Définitivement complémentaires, rappelle l’Académie nationale de Médecine. Acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi, des pratiques de plus en plus populaires au point qu’aujourd’hui, près de 4 français sur 10 y font appel, dont des patients atteints de cancer. Pourtant, ce ne sont pas des « médecines », mais des techniques de traitement pouvant intervenir en complément de la thérapeutique médicale proprement dite, précise encore l’Académie de Médecine. Un recours à ces thérapies doit donc rester conditionné à un diagnostic ou un avis médical et, faute de preuves scientifiques suffisantes à l’heure actuelle, ne doit pas être accepté comme traitement de première intention.

France 5 : Allo Docteurs.fr

Thérapies complémentaires : l’Académie de médecine exprime ses  »réserves ».

L’Académie de médecine a rendu un rapport sur les thérapies complémentaires que sont l’acupuncture, l’ostéopathie, l’hypnose et le tai-chi. Elle reconnaît leur « apport bénéfique » dans certains cas, mais rappelle que ces thérapies doivent rester à leur « juste place, derrière la médecine », basée, elle, sur des preuves scientifiques.
Article de P. Dutreil

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