L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?

L’ostéopathie animale – ou encore l’ostéopathie tout court puisqu’elle ne diffère pas de l’ostéopathie appliquée aux humains – est une médecine basée sur des connaissances approfondies de l’anatomie et de la physiologie et qui au moyen de manipulations rétablit l’organisme dans son système de santé. Cette forme thérapeutique envisage le corps dans sa globalité afin de rétablir l’équilibre qui régnait entre ses parties avant la maladie. Plus concrètement, cela signifie que l’ostéopathie ne traite pas uniquement le symptôme, celui-ci n’étant que le reflet du déséquilibre qui s’est installé dans le corps. Elle en cherche les causes dans les différentes parties de l’organisme malade, faisant les liens de cause à effet et dressant un bilan global de l’état du patient. Ainsi, une boiterie chez un chien peut tout à fait provenir d’une dysfonction viscérale. En effet, les viscères sont rattachés par des membranes (mésos) aux organes adjacents et aux parois du corps. Prenant attache sous la colonne vertébrale, ces mésos participent au soutien de la masse viscérale. Un viscère malade, hypertrophié par exemple, exercera par le biais de son méso une traction pathologique qui s’en ressentira sur la mobilité des vertèbres dans la zone d’attache. Pour compenser cette traction, ces vertèbres basculeront dans une position qui compromettra leur mobilité avec pour conséquence la boiterie observée, soit le symptôme partie visible de l’iceberg. Mais le raisonnement ne s’arrête pas là, car il faut encore envisager les conséquences de la dysfonction de l’organe en question sur la physiologie des tissus qui l’environnent. En effet, les viscères interagissent étroitement au moyen de contacts physiques et chimiques. La physiologie altérée de l’un d’entre eux suppose l’émission de substances qui, déversées dans l’organisme, auront pour conséquence des modifications de la physiologie d’autres appareils. Par ailleurs, un mécanisme nommé « effet Turgor » implique que toute place abandonnée ou conquise au sein des cavités viscérales par un organe hypo ou hypertrophié sera comblée ou perdue par les autres organes avec des retentissements sur leur fonctionnement. Ainsi, c’est toute l’homéostasie qui est compromise, d’où la vision globale de la médecine ostéopathique. Le thérapeute dispose d’une gamme de gestes basés sur l’écoute des tissus du patient. Les techniques de soin sont manuelles, comme l’indique le terme « manipulations ». L’ostéopathe ressent dans ses mains la qualité des tissus, soit leur texture, leur élasticité, leur épaisseur, leur sécheresse, etc. Il évalue l’asymétrie des repères, les restrictions de mobilité et la sensibilité locale. Autant de ressentis qui vont l’amener au diagnostic, au traitement puis au suivi des réactions tissulaires après les soins. L110xH110_jpg_T0036-f3e86.jpg Les gestes manipulatifs concernent tous les tissus de l’organisme. Les structures osseuses sont sollicitées par le biais des articulations que l’ostéopathe libère, les fibres musculaires contracturées sont détendues, les fascias en tension sont libérés et rééquilibrés, les viscères en dysfonction sont relancés dans leur dynamique de santé. Sur la base des principes énoncés plus haut, les manipulations ostéopathiques retentissent sur plusieurs plans à l’échelle de l’organisme : elles vont influencer sa biomécanique et sa physiologie locales et globales. En effet, la zone traitée réagit par une mobilité tissulaire retrouvée (i.e. : une vertèbre qui retrouve son amplitude de mouvement) qu’elle va communiquer localement et globalement au moyen de substances chimiques, et essentiellement par les voies hormonales et nerveuses. Il faut bien visualiser le tissu malade comme un ensemble de cellules, sous-unités communiquant en permanence et véhiculant un message de santé ou de dysfonction par le biais de leurs jonctions. De type variable, ces jonctions d’ancrage, serrées ou largement communicantes permettent la transmission de forces et de substances diffusées aux unités voisines. D’autres messagers chimiques sont destinés à des cibles plus éloignées. Ils sont alors libérés dans le sang, véhicule de la communication hormonale dans l’organisme, ou destinés à générer l’influx nerveux, la cellule modifiant alors son équilibre électrique et générant par ce biais la libération des neurotransmetteurs en des sites bien spécifiques appelés synapses. Il reste encore à mentionner les liens particuliers qui existent entre tissus émanant d’une même origine embryonnaire. En effet, le développement embryonnaire génère en son début trois types de tissus, dits feuillets, dont dériveront l’ensemble des organes qui composent l’organisme. Il s’agit de l’ectoblaste, du mésoblaste et de l’endoblaste qui produiront, entre autres et respectivement, les tissus nerveux, mélanocytes, épithéliums et structures mésenchymateuses de la face ; les tissus musculaires, osseux et cartilagineux du squelette axial; et le revêtement des voies digestives et respiratoires. Il apparaît que les tissus ayant une origine commune s’influencent plus particulièrement. Ainsi, pour reprendre les exemples donnés, des modifications induites dans un tissu mésenchymateux de la face comme les dents peuvent se répercuter sur le bon fonctionnement des cellules pigmentées de la peau, les mélanocytes. En revenant à l’exemple de la vertèbre en dysfonction, soit en restriction (asymétrie) de mobilité, la zone tissulaire concernée génère des messages de douleurs, et son irrigation sanguine est altérée, car des messagers chimiques induisent une vasomotricité modifiée des vaisseaux sanguins. En fonction du degré de chronicité, les tissus peuvent être inflammés ou au contraire froids en raison de la qualité de l’irrigation et des substances relarguées, la tonicité musculaire locale est augmentée (spasme, contracture) ou diminuée, et les tissus sont affectés de modifications telles œdème, congestion ou évolution vers la fibrose par modification des proportions de leurs composants. Le geste manipulatif en levant la restriction de mobilité de ladite vertèbre lève les tensions tissulaires et l’inconfort qui en résultait. Les messages mécaniques cessent immédiatement et les échanges chimiques se normalisent dans un délai dépendant du fonctionnement physiologique de la zone concernée. La cause de la maladie étant levée, les modifications locales et les compensations qui en découlaient dans d’autres systèmes pourront progressivement disparaître. Il faut toutefois prendre quelques faits en compte pour mieux appréhender les limites de l’ostéopathie. En effet, certaines altérations comme la fibrose tissulaire sont irréversibles. Ainsi, si le tissu initial est modifié définitivement, l’état de santé de l’individu devra se trouver par un autre équilibre : le maintien de l’homéostasie de l’organisme ne pourra pas se réaliser de la même manière qu’avant la fibrose. Il en va de même pour toute lésion organique : l’ostéopathie trouve toute son efficacité face à des maladies générées par des causes fonctionnelles et non organiques. Il faut bien comprendre la genèse d’une pathologie : avant l’apparition des troubles organiques, soit la dégradation des structures (comme l’apparition d’une tumeur ou la lésion d’un cartilage), la structure incriminée rencontre des difficultés de fonctionnement. Elle est saine d’un point de vue tissulaire mais ne remplit pas son rôle. Le corps est donc malade, mais l’ostéopathie saura l’aider à retrouver un fonctionnement optimal. Cette aide ne pourra se montrer aussi efficace une fois les tissus dégradés, l’ostéopathie ne pouvant régénérer un cartilage ou résorber une tumeur. Elle s’envisage alors plutôt en accompagnement d’une thérapie allopathique, visant à soulager les compensations installées dans l’organisme du fait de la dysfonction première. L’ostéopathie est donc adaptée au suivi d’un animal vieillissant ou souffrant d’une affection impliquant une dégradation tissulaire dont elle pourra freiner l’évolution tout en limitant les compensations. La dysplasie de la hanche, pathologie fréquente chez les chiens de race moyenne à grande, est un exemple typique où l’ostéopathie permet à l’animal de retrouver un certain équilibre locomoteur malgré la dégradation des tissus osseux et cartilagineux de l’articulation de la hanche. Parmi les pathologies fonctionnelles, on citera celles pour lesquelles il est déjà admis de faire appel à l’ostéopathe, comme les troubles de l’appareil locomoteur : boiteries, maux de dos, douleurs articulaires, etc. Toutefois, l’ostéopathie ne se restreint pas à ces seules lésions musculaires et articulaires. Certains troubles viscéraux (digestifs, gynécologiques, respiratoires, …), si fonctionnels, peuvent également être soulagés par l’ostéopathie. Enfin, l’ostéopathie trouve aussi sa place dans la préparation de l’animal sportif, assurant à celui-ci une dynamique locomotrice optimale malgré les sollicitations intenses des structures osseuses, musculaires et articulaires dues à l’entraînement et aux concours. Les indications d’une consultation ostéopathique sont donc multiples, incluant les signes locomoteurs, viscéraux, comportementaux et dentaires. Pour le sportif, il peut s’agir de problèmes inhabituels face aux difficultés de la discipline. Toutefois, des signes plus « insignifiants », comme une gêne manifestée par un chien pour monter dans la voiture ou sauter sur le canapé, ne sont pas à négliger. Pour ce qui est du viscéral, la symptomatologie inclut, entre autres exemples, les nausées, diarrhées et fortes chaleurs. Sur le plan comportemental, certains accès de mauvaise humeur peuvent provenir de migraines ou de douleurs générées par une gêne articulaire. Il en va de même pour certaines pathologies dentaires (i.e. : défaut d’usure des dents) qui peuvent être générées par une restriction de mobilité articulaire entraînant une asymétrie dans l’utilisation des dents avec pour conséquence des problèmes de mastication donc de digestion. Ainsi, l’ostéopathie, sans apporter de réponse thérapeutique à toutes les maladies, soulage néanmoins dans de nombreux cas. Curative de beaucoup de dysfonctions, elle est également préventive en agissant sur des compensations qui pourraient à terme évoluer vers de nouvelles pathologies.

 

4 réflexions sur “L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?”

  1. L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?
    L’OSTEOPATHIE ANIMALE, QU’EST-CE QUE C’EST ? A QUOI CA SERT ? EST-CE QUE CA MARCHE ?
    25 novembre 2006 09:35, par DURAND Thierry, Dr Vét.

    Sur le fond, l’article n’est pas inintéressant, mais mon avis est qu’il y a un manque de rigueur dans le plan et dans l’argumentaire… et quelques imprécisions dans les termes… Il ne me semble pas raisonnable de diffuser des articles qui ne sont pas aboutis. Attention ce que ces imprécisions de langage ne prêtent pas les observateurs extérieurs penser qu’il s’agit d’une pratique ésotérique …

    Il serait souhaitable que le réseau des ostéopathes se dote d’un comité de lecture rigoureux pour sa / ses revues, car il est essentiel qu’il y ait un haut niveau de cohérence (transversale)dans les diverses contributions. Ce type de pratique ne dissuade pas les contributeurs, mais les amène finalement progresser. Vous avez créé un réseau qui commence bien fonctionner, le temps est venu de le structurer juridiquement, et scientifiquement. La rigueur en matière de publication technique et de communication « grand public » est un élément clé de votre crédibilité.

    Soyez rigoureux et ambitieux. Bon courage.

    PS : N’exerçant plus dans ce domaine et étant par ailleurs surbooké, je ne pourrai pas vous y aider, mais je ne manquerai pas de vous faire part de mes observations si vous le souhaitez

    1. L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?
      L’OSTEOPATHIE ANIMALE, QU’EST-CE QUE C’EST ? A QUOI CA SERT ? EST-CE QUE CA MARCHE ? 30 novembre 2006 13:15

      Bonjour,

      Merci pour vos commentaires et votre intérêt général dans nos écrits.

      Pour ce qui est des imprécisions éventuelles de cet article, j’aimerais spécifier qu’il s’agit au départ d’un texte de vulgarisation, conçu pour un bulletin de club canin et donc pour un public de non scientifiques. Mais n’hésitez pas spécifier les imprécisions qui vous gênent (l’ésotérisme est peut-être un terme un peu fort pour qualifier cet article !!), des corrections ont déj été apportées afin de clarifier certains passages et d’en faciliter la lecture. Je pourrais éventuellement encore travailler l’améliorer si je trouve le temps, je suis moi-même également assez occupée !

      Le comité de lecture est une très bonne idée, mais il faut trouver les personnes professionnellement actives et volontaires pour dédier encore un peu de leur temps ! Ce n’est sans doute pas chose aisée.

      Toutefois, le fait que certaines personnes essayent de mettre par écrit leur expérience et le développement de leur pratique est sans doute déj considérer comme un progrès. De même, la publication d’une partie de mon mémoire d’ostéopathie l’ICEEP 7 (7th International Conference of Equine Exercise & Physiology, Fontainebleau, France) est, il me semble, une main tendue vers le monde scientifique.

      Meilleures salutations,

      Catherine Brassaud. http://www.animosteo.ch

      1. L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?
        L’OSTEOPATHIE ANIMALE, QU’EST-CE QUE C’EST ? A QUOI CA SERT ? EST-CE QUE CA MARCHE ? 30 novembre 2006 13:15

        Bonjour,

        Merci pour vos commentaires et votre intérêt général dans nos écrits.

        Pour ce qui est des imprécisions éventuelles de cet article, j’aimerais spécifier qu’il s’agit au départ d’un texte de vulgarisation, conçu pour un bulletin de club canin et donc pour un public de non scientifiques. Mais n’hésitez pas spécifier les imprécisions qui vous gênent (l’ésotérisme est peut-être un terme un peu fort pour qualifier cet article !!), des corrections ont déj été apportées afin de clarifier certains passages et d’en faciliter la lecture. Je pourrais éventuellement encore travailler l’améliorer si je trouve le temps, je suis moi-même également assez occupée !

        Le comité de lecture est une très bonne idée, mais il faut trouver les personnes professionnellement actives et volontaires pour dédier encore un peu de leur temps ! Ce n’est sans doute pas chose aisée.

        Toutefois, le fait que certaines personnes essayent de mettre par écrit leur expérience et le développement de leur pratique est sans doute déj considérer comme un progrès. De même, la publication d’une partie de mon mémoire d’ostéopathie l’ICEEP 7 (7th International Conference of Equine Exercise & Physiology, Fontainebleau, France) est, il me semble, une main tendue vers le monde scientifique.

        Meilleures salutations,

        Catherine Brassaud. http://www.animosteo.ch

        Répondre à ce message

        Magie et comité de lecture… 30 novembre 2006 19:04, par L’ostéo4pattes

        Merci Catherine de ta réponse…courtoise et ferme.

        – Oui, oser écrire sur un tel sujet n’est pas évident quand il faudrait dire les choses ainsi et pas ainsi, etc…l’important est de le faire, on verra plus tard la méthode si ma vision des choses pluralistes est fausse.

        Ma réponse de webmestre est la suivante :

        – propos de science…..de quoi parle t’on ? d’une science empêtrée dans ses préjugés ou d’une science ouverte des concepts différents…j’ai vu la première…et pas encore la deuxième aidez-moi (cf le rapport de l’académie de médecine au nom de la science…un tas de préjugés sans fondements). La vie mérite autre chose qu’une explication par des réactions biochimiques fussent-elles génétiques. Il y a les sciences dures et par opposition les sciences molles comme la sociologie, l’ostéopathie devra sûrement en faire partie.

        – A propos des écrits sur les sites, le comité de lecture existe (22 auteurs), mais il part d’ a priori constitutionnels (oui nous aussi…) :

        1-Personne ne sait ce qu’est la vraie ostéopathie…si, si croyez moi (it’s a joke), ç évitera peut être des querelles de chapelles, vous savez du style, c’est la méthode duboududoi la meilleure, etc….

        2- Toute expérience même incomplète, même incertaine est bonne dire et répondra forcément la question d’un lecteur ou en suscitera une chez un autre lecteur. Un seul et le texte aura atteint son but.

        3-Il se trouvera toujours, quelque soit le soin apporté au choix des mots et des phrases quelqu’un pour dire que ce n’est pas sérieux. Ainsi il faudrait ne pas parler d’ostéopathie crânienne, viscérale et de point yu etc….alors tant pis, nous parlerons de tout et ne serons pas sérieux. c’est un choix. L’important étant d’échanger sur ce que nous vivons et non pas de se restreindre un cadre décidé par d’autres (NON les données actuelles de la SCIENCE ne suffisent pas expliquer le monde encore…et les concepts d’aujourd’hui sont trop petits pour l’ostéopathie)

        – alors, quoi sert le comité ? juste dire : et bien ce que tu dis l ç me fait penser …., j’ai eu un cas comme cela et je l’avais pensé ainsi…. et si tu avais regardé l que ce serait-il passé ?

        Et je pense que chacun apporte la rigueur nécessaire son écrit et tant qu’il n’est pas diffamatoire ou délirant on ne jette rien.

        Et jusque l , que ce soit sur les sites, la revue ou au rencontres j’ai vu des gens qui s’investissaient et nous parlaient d’art médical…. car c’est bien, d’art que l’on parle et non pas de techniques…la magie n’est pas loin (bouh !). Et d’après moi toute tentative d’enlever l’ostéopathie cette part de poésie induite par les sensations manuelles et voulant trop coller la science telle qu’on voudrait nous l’imposer verra l’ostéopathie se vider de sa moelle, comme un os de musée d’anatomie (qui par ailleurs n’a rien de commun avec un os vivant !)

        Alors de l’aide, thierry, oui :
        – écrit ce que tu penses, écrit nous le publierons, sauf…si tu continues de penser qu’il n’y a qu’une façon d’écrire.
        – toi ou ta femme (qui est ostéo), venez rejoindre le comité de lecture si vous en adoptez les a priori, nous avons besoin de nombre, d’écrits, d’énergie et très terre terre d’abonnements…pour arriver faire croître ce bouillonnements issu des mains des ostéos.

        Alors, Catherine merci pour ce texte, fut-il de vulgarisation, fût-il je ne sais quoi, il est, c’est bien. Il fait parler c’est bien, il a été lu plus de 250 fois depuis sa mise en place et il a forcément apporté un de ces lecteurs, tu peux continuer.

        P.S cool de remplir le mail en bas pour avoir les réponses directes.

    2. L’ostéopathie animale, Qu’est ce que c’est? A quoi çà sert ? Est ce que ça marche?
      L’OSTEOPATHIE ANIMALE, QU’EST-CE QUE C’EST ? A QUOI CA SERT ? EST-CE QUE CA MARCHE ? 18 mars 2008 10:14, par Agnès Guillaumin

      Bonjour, Vous souhaitez diffuser un message rigoureux et clair au grand public ? Moi aussi ! Je recherche des interlocuteurs pouvant expliquer l’ostéopathie animale en quelques phrases à mes lecteurs.

      A qui puis-je m’adresser ?

      Bien à vous,

      Agnès Guillaumin, Rédactrice en chef Animal Attitude

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