C117 – Biomécanique des quadrupèdes : l’Amble (AR)

Cet article est le résumé d'un travail qui a obtenu le troisième prix axitlas 2013

Cet article est le résumé d’un travail qui a obtenu le troisième prix axitlas 2013

Ce travail sur « la biomécanique des quadrupèdes : l’amble » a pour but d’inviter les physio-thérapeutes vétérinaires que nous sommes , à réfléchir de façon intersubjective sur un outil d’analyse biomécanique (sur la phénoménologie) de nos patients quadrupèdes muets. Cette étude interroge sur le champ des possibles que représente la quadrupédie en termes de diversités locomotrices. L’amble, appelé aussi 4ème allure, repose sur un fonctionnement par bipèdes latéraux. Cette allure naturelle est p...

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1 réflexion sur “C117 – Biomécanique des quadrupèdes : l’Amble (AR)”

  1. Biomécanique des quadrupèdes : l’Amble
    Cavalier de chevaux ambleurs (c’est ma seule « qualification » personnelle!) je me permets de douter de la possibilité d’éduquer un cheval à l’amble en attachant les deux membres latéraux. Cette affirmation est-elle réellement documentée ou relève-t-elle d’une affirmation reprise ?
    Le point n’est pas primordial, mais il me semble digne d’intérêt.

    Ma deuxième remarque porte sur la photo du dromadaire de course où on observe parfaitement l’amble décrit. Il est frappant de constater l’emplacement du chamelier : assis sur le bassin de l’animal et non derrière l’épaule de sa monture comme un cavalier… Cette position a probablement une importance sur la mécanique du déplacement de l’animal. Comment cette influence est-elle évaluée ?

    Enfin, parlons de l’amble -puisque c’est le sujet ! De très nombreuses races de chevaux amblent, à travers le monde entier. Mais le mot « amble » est un terme générique qui couvre (masque?) bien des attitudes différentes. On constate que le cheval peut ambler comme l’éléphant quand les deux membres du même côté sont déplacés simultanément, mais aussi qu’il peut y avoir un « amble » (comme chez les chevaux islandais) où le postérieur se pose avant l’antérieur. Cet amble est parfois nommé « rompu », bien que l’appellation soit utilisée pour parler d’un amble où entre les déplacements gauche et droit on enregistre un temps de suspension (2+2). Enfin, il y a l’amble à 4 temps réguliers -souvent appelé tölt en français- que privilégient les cavaliers qui recherchent cette allure.

    Il me semble que ces divers « ambles » sont intéressants à étudier parce qu’en découle probablement des processus biomécaniques différents… C’est un travail que je vous laisse, mais dont je lirais volontiers les fruits. Merci d’avance.

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