Tu veux voir la suite de l'article ? Tu peux t'abonner et soutenir l'Osteo4pattes ou simplement te connecter à ton espace!
S'abonner et soutenir l'Osteo4pattesSe connecterA28/29 – Aplomb, génétique et ostéopathie (AR)*
Juger un cheval pour décider s’il est conforme à la race et apte à l’usage que l’on demande est une opération délicate…. A laquelle j’ai une fois été convié par le président du Sherpa, mon confrère JP Alzieu que je remercie pour cette expérience enrichissante. Ces quelques heures passées à observer des Mérens m’ont permis d’affiner quelques réflexions que j’avais en tête sur le rapport ou le non rapport entre la génétique et la conformation… En effet, pendant longtemps il a été d’usage de considérer souvent à juste titre que l’origine de la forme ou de l’allure de l’animal était génétique ou tout simplement congénitale. Cette prévalence d’une pensée par...
Aplomb, génétique et ostéopathie (AR).
11 janvier 16:44, par Claire Douart
peut-être me trompé-je mais il me semble qu’il ne faut pas confondre génétique et congénital qui me paraissent être deux termes au sens complètement opposé.
ce qui est dit génétique est héréditaire mais peut se révéler à n’importe quelle époque de la vie. Il en est ainsi de certaines myopathies humaines dont les premiers symptômes apparaissent au bout de plusieurs dizaines d’années.
ce qui est dit congénital est un phénomène qui se produit pendant la vie intra-utérine. Son origine peut être héréditaire ou non.
le propos de l’article n’en est pas affaibli car chacun aura compris de quoi il ressort.
Aplomb, génétique et ostéopathie (AR).
11 janvier 23:34, par vetosteo
Je ne crois pas qu’il y ait confusion… le propos est juste de dire que de sélectionner des chevaux au dos « bien fait » en pensant que c’est généralement génétique, et que ce faisant on va améliorer la race, ce qui se fait donc dans toutes les races, élimine bêtement des chevaux qui ont le dos bien fait avec juste…une dysfonction ostéopathique et que c’est donc très dommage….
D’autant plus que ce qui était vrai au 19 ième siècle quand ce mode de sélection est apparu ne l’est plus vraiment (chevaux vraiment mal faits génétiquement parlant), et on se retrouve comme pour le test de la tuberculose maintenant qu’elle en partie disparue avec plus de faux positifs par le test que de vrai positifs.
Continuer à sélectionner sans tenir compte de l’anomalie d’aplomb ou de posture générée par une simple dysfonction est pour moi discutable.