Evelyne Romantzoff (véto):
Je vois de plus en plus de chevaux en ostéo, bien qu’ayant affirmé haut et fort que je ne les toucherai pas… En ce moment je trouve un problème de caecum à 1 cheval sur 2 avec évidemment d’autres dysfonctions sur lombaires, SI, jarret, c0/c1, c7 , frontal et temporal. Cependant, le travail sur le caecum résout en général la majorité des autres dysfonctions. Quelqu’un a-t’il une explication ? Saison, parasitisme, alimentation…
Alexandre Chichery (véto):
Intéressant, je connaissais bien le caecum mais je ne savais pas qu’il était comme ça !
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Caecum ça ! (AR)
Caecum ça ! (AS)
7 mars 2006 00:19, par osteo4pattes
Cela nous rapproche beaucoup de l’article publié en anglais dans le numéro Un, et effectivement en septembre le caecum est très bavard. Cette notion de saisonnalité me semble importante avec une période annuelle ou l’organe une énergie maximum et six mois plus tard une énergie minimum. En septembre maximum pour le caecum et en mars/avril minimum. En septembre des pathologies d’organes en excés qui n’arrivent pas encaisser le surplus d’énergie et en mars des pathologies d’organe en insuffisance qui n’arrivent pas assumer la l’étiage énergétique. Et sans rentrer dans la puncture des techniques de pression forte sur la zone abdominale en regard du caecum, permettent de calmer en septembre un organe en excès et des techniques de palper/rouler suffisent stimuler un caecum trop faible en mars.